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Retour sur un test : l’onduleur d’Infosec disqualifié

Evénement rarissime, la vigilance du laboratoire a été prise en défaut lors du test de l’onduleur d’Infosec, paru dans MH n?’ 285. Il s’agissait d’un modèle…

Evénement rarissime, la vigilance du laboratoire a été prise en défaut lors du test de l’onduleur d’Infosec, paru dans MH n?’ 285. Il s’agissait d’un modèle 1000 VA, et non pas d’un 500 VA. La puissance maximale fournie, mesurée par les ingénieurs du laboratoire, est de 500 watts. Pour un onduleur de 500 VA, c’est une mesure très avantageuse et elle nous a fait tiquer. Nous avons fait confiance au constructeur, ce qui fut une erreur de jugement car il y avait bel et bien quelque chose d’anormal. Le modèle livré par Infosec porte l’étiquette IPEL 500 Evolution. Mais des indices aussi subtils qu’irréfutables nous ont fait conclure qu’il s’agit en réalité du modèle IPEL 1000 (1000 VA). Nos procédures en cas de doute prévoient l’achat d’un modèle identique dans le commerce. Nous avons enclenché cette procédure, mais nous n’avons pas pu le trouver en stock et les délais de commande et de livraison sur l’un des sites Internet qui le proposent en vente par correspondance étaient incompatibles avec les dates imposées par le processus de fabrication du journal. Nos investigations ne se sont pas arrêtées là pour autant, et toutes les pièces en notre possession nous portent à croire que le constructeur a laissé agir ses équipes avec une extrême légèreté. Nous avons été trompés et, par conséquent, les notes et le classement de cet appareil sont immérités.

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Jacques Eltabet