Passer au contenu

Mais pourquoi est-il si méchant ?

C’est la bonne surprise de cet été. Dans ce jeu d’action burlesque saupoudré d’un soupçon de tactique, on incarne un seigneur du Mal fraîchement ressuscité au…

C’est la bonne surprise de cet été. Dans ce jeu d’action burlesque saupoudré d’un soupçon de tactique, on incarne un seigneur du Mal fraîchement ressuscité au c?”ur d’une forteresse délabrée. Pour restaurer sa splendeur (et retaper
le château), il doit explorer le monde, piller et détruire à tout-va. Mais l’Overlord n’agit pas seul. Il dispose de larbins, aux allures de gremlins, qui lui sont entièrement dévoués. Il en existe quatre catégories : les bruns sont les
guerriers de base, robustes et puissants, les rouges attaquent à distance, les verts prennent l’ennemi à revers et les bleus soignent les blessés. Plus les créatures remportent de victoire et plus elles deviennent puissantes. Il faut donc les
ménager, même si l’on peut en recruter pour compenser ses pertes. Grâce à ses larbins, on peut piller gaillardement châteaux et villages, afin de gagner l’or nécessaire à la réfection de sa forteresse. Tout cela dans la bonne humeur, le jeu baignant
dans une ambiance grand-guignolesque très ‘ second degré ‘. La maniabilité est simplissime. D’un clic droit, on lance un larbin vers la cible, d’un clic gauche, on le rappelle. Plus on progresse dans le
jeu et plus on peut en diriger. Heureusement, car les ennemis deviennent vite plus puissants et nombreux. Néanmoins, le jeu reste simple, peut-être trop pour les joueurs aguerris.

🔴 Pour ne manquer aucune actualité de 01net, suivez-nous sur Google Actualités et WhatsApp.


Philippe Fontaine