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Comment nous les avons testés

Le laboratoire applique des protocoles de tests rigoureux pour évaluer les produits. Puis, la rédaction analyse les résultats qui lui sont transmis, et les commente.

Rapport signal/bruit

La prise casque d’un baladeur doit être exempte de parasites et de bruit de fond, pour l’écoute au casque, mais aussi, et à plus forte raison, pour le branchement à une chaîne hi-fi. Le laboratoire a mesuré ce rapport en injectant une fréquence de 1 000 Hz et en mesurant à l’aide d’un oscilloscope numérique la qualité du signal rendu.

Rapidité de transfert des fichiers

Des chronométrages à partir du même PC ont permis d’identifier les baladeurs les plus rapides et les plus lents sur ce point. Les résultats parlent d’eux-mêmes : ils varient de 1 à 7. En fait, si l’on compare à d’autres types de produits, la qualité des mémoires est tout simplement médiocre. Même le plus rapide des baladeurs n’est pas un foudre de guerre dans l’absolu.

Compatibilité avec les DRM

Le laboratoire a vérifié la possibilité de lire des morceaux de musique protégés par DRM, achetés sur des sites commerciaux. Les formats Microsoft et Apple, les plus répandus, ont été vérifiés.

Commodité d’emploi

L’ergonomie pour de si petits produits est capitale et l’iPod a donné le tempo sur ce critère. Qualité de l’écran, facilité de navigation, lisibilité, richesse des informations affichées, etc. Tous les éléments importants et qui facilitent l’usage ont été vérifiés.

Autonomie

La plupart des baladeurs récents fonctionnent à l’aide d’accus rechargeables. Chaque baladeur a été chargé à bloc et on a procédé à l’égalisation des niveaux sonores de restitution. Le test d’autonomie a consisté à jouer en boucle une liste de morceaux devant un PC qui détecte la fin de la diffusion sonore quand laccu est à plat.

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Jacques Eltabet