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24 modèles pour ne pas se tromper

Envie d’offrir ?” ou de vous offrir ?” un appareil photo pour Noël ? Pour vous guider dans la foule de modèles disponibles sur le marché, nous avons sélectionné les compacts, les bridges et les reflex les plus séduisants de cette fin d’année.

Compact – Ixus 960 IS – Canon : le meilleur compact actuel

Voilà, sans conteste, le meilleur compact numérique actuel, et aussi l’un des plus élégants. L’Ixus 960 IS intègre un zoom optique équivalant à un 36-133 mm, avec un système de stabilisation optique autorisant les prises de vues sans flash jusqu’au quinzième de seconde à main levée. Vraiment pratique. L’ergonomie de l’appareil est excellente, notamment grâce à la molette de sélection qui facilite l’accès aux réglages. On peut regretter l’absence de modes semi-automatiques. Mais il faut reconnaître que l’appareil gère à merveille toutes les conditions de prise de vues. Les images sont d’une netteté impressionnante, les couleurs fidèles, et le bruit numérique remarquablement limité ?” y compris à 400 Iso. Etonnant, surtout que ce compact intègre un minuscule capteur de 12,1 mégapixels. Autant d’atouts qui justifient son prix élevé.

Compact – Photosmart R937 – HP : écran total

Le premier contact avec le R937 se révèle plutôt surprenant. En effet, sa face arrière ne présente que la touche de réglage du zoom optique, le reste étant monopolisé par un immense écran tactile de 9,1 cm de diagonale. Les principales fonctions sont accessibles via des icônes situées dans les angles. Mais celles-ci disparaissent dès que l’on presse le déclencheur à mi-course. A l’usage, ce système s’avère pratique ?” notamment parce que, s’agissant d’un compact grand public, les possibilités de réglage sont très limitées. Le R937 offre une qualité d’image tout à fait correcte pour un affichage à l’écran ou pour l’impression jusqu’au format A4. Au-delà, le bruit numérique et les aberrations deviennent visibles. A noter : l’activation de la fonction anti-flou (un stabilisateur numérique) entraîne une sévère dégradation de l’image. A n’utiliser qu’en dernier recours, lorsque l’usage du flash est proscrit.

Compact – F50fd – Fujifilm : pas de bruit

Les appareils photo Fujifilm se sont toujours distingués par leur faculté à limiter le bruit numérique à forte sensibilité. Ce modèle ne déroge pas à la règle. Au point qu’il permet de photographier en 800 Iso sans grande détérioration des images. Et ce malgré la présence d’un petit capteur de 12 mégapixels. De quoi envisager sereinement la photo en intérieur, sans flash. Très compact, le F50fd dispose des réglages indépendants de la vitesse et du diaphragme. Comme de plus en plus d’appareils, il intègre un système de détection des visages très efficace. L’autofocus détecte tous les visages présents dans le cadre, et effectue automatiquement la mise au point.

Compact – Exilim EX-V8 – Casio : zoom invisible

Très compact, cet appareil n’en intègre pas moins un zoom optique 7X (38-266 mm) monté verticalement dans le boîtier pour éviter son déploiement à l’usage. Si la focale minimale s’avère un peu trop importante pour les prises de vues en intérieur confiné, le téléobjectif offre un grossissement confortable. L’EX-V8 dispose des modes semi-automatiques priorités vitesse et ouverture. Leur mise en ?”uvre s’avère pratique, car la modification des valeurs s’effectue à l’aide de deux boutons situés sur la molette. Les photos sont correctes, mais un peu bruitées par faible luminosité. En outre, dans le but d’offrir un rendu flatteur, les couleurs sont un peu trop saturées.

Compact – Coolpix P50 – Nikon : grand angle

Offrant une prise en main très sûre et un accès aisé aux différentes fonctions, le P50 est l’un des rares compacts à disposer d’un objectif grand angle. Equivalant à un 28-102 mm en 24 x 36, l’appareil se montre très à l’aise dans les photos en intérieur. Cela d’autant que le bruit numérique s’avère assez discret à 400 Iso. Il dispose aussi d’un viseur optique ?” de plus en plus rare ?”, que l’on peut utiliser lorsque, en pleine lumière, l’écran LCD devient illisible. Attention, cependant, au cadrage sur des sujets proches, car le viseur souffre d’un gros défaut de parallaxe… L’appareil produit des images nettes et précises tant en grand angle qu’au téléobjectif. De plus, les couleurs sont fidèlement reproduites.

Compact – Photosmart Mz67 – HP : la photo facile

Ce compact s’adresse au photographe occasionnel, allergique à la technique. Ultra-simple à utiliser, il effectue tous les réglages en fonction du choix de mode de prise de vues ?” macro, paysage, action… Le Mz67 intègre un confortable zoom optique 6X, offrant une amplitude équivalant à un 37,7-225 mm au format 24 x 36. Un peu étriqué pour les prises de vues en intérieur, il s’avère fort utile pour capturer un détail sur un objet éloigné ou pour photographier ses amis sans qu’ils se sentent observés. Le Mz67 produit des images assez nettes, mais les couleurs sont franchement saturées : si elles sont vives et chaudes, elles manquent de fidélité.

Compact – Mju 820 – Olympus : par tous les temps

Ne vous y trompez pas : malgré sa coque tout en métal, le Mju 820 (prononcer miou) ne craint ni les fortes pluies ni les chutes dans la neige, des joints de caoutchouc protégeant toutes les parties mobiles. Disponible en quatre couleurs, ce modèle intègre un zoom optique 5X (équivalant à un 36-180 mm) et un capteur de 8 mégapixels. Sa focale minimale, proche du grand angle, s’avère plutôt convenable pour la prise de vues en intérieur. Petit plus, le Mju 820 dispose de la fonction de détection des visages. Enfin, il intègre un écran LCD de 6,9 cm de diagonale. A l’usage, l’appareil se montre agréable. Le menu de l’écran LCD est très intuitif, et les fonctions principales sont aisément accessibles. La qualité des photos est globalement bonne, et le bruit numérique relativement discret à 400 Iso.

Compact – Powershot SX 100 IS – Canon : un ?”il de lynx

A première vue, le Powershot SX100 IS semble assez encombrant. Mais pensez qu’il intègre un zoom 10X équivalant à un 36-360 mm, stabilisé optiquement. Lors des tests de prise de vues, nous avons ainsi photographié à la focale maximale au trentième de seconde sans le moindre flou de bouger ! L’autofocus s’avère particulièrement véloce par bonne luminosité, et très correct en intérieur sombre. Le SX100 IS dispose des modes de prise de vues semi-automatiques. Et, pour une fois, le réglage de la vitesse ou du diaphragme s’effectue aussi rapidement que sur un reflex. Canon a, en effet, eu l’idée d’ajouter une molette de réglage, que l’on tourne pour faire varier les valeurs. Les images sont de très bonne qualité, sans toutefois égaler celles de l’Ixus 960 IS.

Compact – V1253 – Kodak : vidéo en HD

Disponible en noir ou en blanc, le V1253 séduit par ses formes et rassure par la qualité de sa fabrication. L’appareil intègre un zoom optique 3X équivalant au 37-111 mm en 24 x 36 et un capteur de 12 mégapixels. La qualité des photos est correcte, et le bruit numérique plutôt discret. On note cependant une légère tendance à la surexposition dans les zones à fort contraste. La plus grande surprise émane de l’écran LCD. Mesurant 7,9 cm de diagonale, il est au format 16/9. Cela tient au fait que le V1253 peut enregistrer des vidéos en HD 720p (1 280 x 720 points) ?” sans zoom, malheureusement. La qualité est très bonne, surtout en extérieur. A condition, toutefois, de ne pas se déplacer en filmant.

Compact – Exilim Card S880 – Casio : format carte de crédit

Le S880 appartient à la gamme Card de Casio, car ses dimensions sont quasiment identiques à celles d’une carte de crédit, pour une épaisseur, appareil éteint, de seulement 17,3 mm. Le poids est à l’avenant : 142 grammes, batterie incluse. Pourtant, l’appareil offre une excellente prise en main, et un accès aux fonctions principales facilité par une molette de sélection. Cet ultra-compact intègre un zoom optique 3X (38-114 mm) et un capteur de 8,1 mégapixels. Les photos sont correctes en focale minimale, et nettement plus convaincantes en télé. Les couleurs se révèlent particulièrement fidèles.

Compact – Cybershot T70 – Sony : avec détecteur de sourire !

Un véritable concentré de nouvelles technologies. Pour commencer, le T70 dispose d’un bel écran tactile au format 16/9, qui occupe tout l’arrière de l’appareil. Il s’avère d’une utilisation plutôt agréable ?” Sony maîtrise depuis longtemps cette technologie sur ses caméscopes. Mais une petite période d’adaptation s’avère indispensable pour se repérer dans les différents menus. Le T70 peut enregistrer les photos au format Full HD (1 920 x 1 080 points), mais malheureusement pas les vidéos. Autre innovation assez spectaculaire, l’appareil sait détecter les visages… et les sourires : une fois la fonction activée, on presse le déclencheur, mais la photo n’est prise que lorsque le sujet sourit. Bluffant !

Compact – Mju 790 SW – Olympus : indestructible !

Parfait pour les baroudeurs ! Bien que tout en métal, le Mju 790 SW, disponible en quatre couleurs, est étanche jusqu’à 3 mètres de profondeur. Il supporte des températures de moins 10 degrés, et, surtout, peut tomber de 1,5 mètre sans broncher ! On peut donc l’emmener sans risque sur la plage ou le glisser dans sa combinaison de ski sans craindre la casse en cas de chute. Le Mju 790 SW intègre un zoom optique 3X (38-114 mm), épaulé par un capteur de 7,1 mégapixels. Les photos sont correctes, notamment aux plus forts grossissements. En revanche, le bruit numérique est un peu élevé en intérieur à 400 Iso.

Compact – Z100fd – Fujifilm : ultra-compact

La notion d’appareil photo bijou s’applique à merveille au F100fd. Disponible en quatre couleurs ?” rose, chocolat, métal, ou bicolore noir et blanc ?”, il se distingue par un design des plus raffinés. Le clapet de protection de l’objectif coulisse en diagonale, mettant en route l’appareil. Celui-ci intègre un zoom optique périscopique équivalant à un 36-180 mm. Logé verticalement dans le boîtier, il ne sort pas lors de l’utilisation, pour une compacité maximale ?” le F100fd mesure moins de 2 centimètres d’épaisseur. Comme tous les Fujifilm, ce compact gère admirablement le bruit numérique, qui demeure quasi invisible à 400 Iso. Enfin, les photos sont correctes, et les couleurs fidèles.

Compact – NV20 – Samsung : un design d’enfer

Séduisant en diable, le NV20 offre une ergonomie tout à fait originale. Deux rangées de boutons sensitifs entourent l’écran LCD de 6,35 cm de diagonale. En glissant le doigt le long des boutons, on parcourt les différentes fonctions, tandis qu’une pression permet de les activer. Ce système pourrait passer pour un gadget de snob. En fait, il se révèle extrêmement efficace et rapide. Le NV20 intègre un capteur de 12 mégapixels couplé à un zoom 3X (34-102 mm). La précision des images, correcte en grand angle, s’avère très bonne en télé. Les couleurs sont fidèlement respectées, et le bruit numérique reste assez discret à 400 Iso.

Bridge – Easyshare Z812 IS – Kodak : en toute légèreté

A la fois compact et léger (il ne pèse que 370 grammes), le Z812 IS intègre un zoom optique 12X, équivalant à un 36-432 mm en 24 x 36, stabilisé optiquement. Le système est efficace, puisqu’il autorise la photo à main levée jusqu’au quinzième de seconde ?” nous avons pu le vérifier lors des tests. La prise en main est bonne. On apprécie notamment la molette de réglage et de sélection des fonctions. La qualité des photos est très convenable, y compris en sensibilité 400 Iso. L’appareil offre la possibilité de photographier jusqu’à 1 600 Iso, voire en 3 200 Iso. Mais la définition est alors limitée à 2 mégapixels. Bien sûr, ces sensibilités sont à réserver aux cas extrêmes, car le bruit numérique est très présent et dégrade immanquablement l’image.

Bridge – Finepix F8000fd – Fujifilm : vraiment polyvalent

Posséder un gros objectif longue portée, c’est bien. Mais avoir un grand angle, c’est primordial. Le S8000fd répond totalement à ces préoccupations avec son zoom optique stabilisé 18X équivalant à un 27-486 mm. L’appareil est aussi à l’aise pour la photo de groupe que pour l’imagerie animalière ou sportive. Le stabilisateur fonctionne bien, mais à très longue focale le pied reste indispensable si l’on manque de lumière. Fait notable : le S8000fd permet de pousser la sensibilité jusqu’à 3 200, voire 6 400 Iso. Malheureusement, le bruit numérique devient alors trop présent, et dégrade fortement la qualité de l’image, la rendant quasiment inexploitable. En revanche, jusqu’à 400 Iso, les images sont propres et bien piquées ?” surtout lorsqu’on utilise les plus longues focales.

Bridge – SP-560 UZ – Olympus : bon à tout faire

Le ratio de grossissement de 18X semble devenir la norme pour les bridges, puisque trois des quatre appareils de notre sélection possèdent un tel zoom. Parmi ceux-ci, le SP-560 UZ dispose d’un zoom d’amplitude 27-486 mm avec stabilisateur optique. Cet objectif s’avère vraiment très polyvalent grâce, notamment, à sa focale grand angle. Comme tout bridge, le SP-560 UZ offre une prise en main excellente et un accès aisé aux fonctions principales, tels les modes de prise de vues semi-automatique, accessibles en tournant la molette de sélection. La qualité des images se révèle globalement satisfaisante (excellente aux longues focales), à condition de ne pas dépasser les 400 Iso. En effet, comme la plupart de ses concurrents, le SP-560 UZ permet de pousser la sensibilité jusqu’à 3 200 Iso pour un résultat malheureusement exécrable ?” y compris pour une impression au format 10 x 15.

Reflex – K100D Super – Pentax : le meilleur rapport qualité/prix

Avec le K100D, Pentax frappe très fort. En effet, ce reflex doté d’un capteur CCD de 6 mégapixels est proposé en kit avec l’objectif 18-55 mm à moins de 500 euros. Malgré ce petit prix, il ne s’agit pas d’un produit au rabais. Le K100D est un appareil robuste, d’une prise en main aisée, et doté d’un viseur assez lumineux. En outre, puisque c’est le capteur qui bouge pour compenser les mouvements de l’utilisateur, tous les objectifs que l’on y adapte bénéficient immédiatement de la stabilisation optique (mécanique). Lors de nos tests, nous avons pris plusieurs photos au quinzième de seconde, toutes parfaitement nettes. Seul bémol : l’objectif livré en kit donne de bonnes images, mais s’avère un peu lent.

Bridge – DMC-FZ18EF – Panasonic : presque un reflex

Spécialiste depuis plusieurs années des bridges à zooms spectaculaires, Panasonic nous livre avec le FZ18EF un appareil très abouti. La qualité des images est impressionnante, et le piqué dans les longues focales exceptionnel. Fabriqué par Panasonic avec l’expertise technique de Leica, l’objectif équivaut à un 28-504 mm en format 24 x 36. Cette couverture focale s’avère des plus polyvalentes. De plus, grâce au système de stabilisation optique, les risques de flou de bouger lorsqu’on utilise à main levée dans les plus longues focales sont sensiblement réduits.

Reflex – DMC-L10 – Panasonic : écran orientable

Le deuxième reflex numérique de Panasonic intègre les toutes dernières innovations technologiques. D’abord, il dispose de la fonction Live View, qui permet de cadrer via l’écran LCD, comme sur un compact ou un bridge. Ensuite, le zoom 28-100 mm fourni en kit intègre un système de stabilisation optique très efficace. A noter : Panasonic et Olympus faisant partie du consortium E-System, le L10 est compatible avec tous les objectifs Olympus (Zuiko). Autre atout : l’appareil dispose d’un écran LCD orientable dans toutes les directions. Vraiment très pratique pour réaliser des cadrages originaux ou pour photographier en toute discrétion. Enfin, le reflex intègre un capteur de 10,1 mégapixels au format 4/3 (norme E-System), comme ceux des compacts et des bridges.

Reflex – GX10 – Samsung : de bonne composition

Développé en partenariat avec Pentax, le Samsung GX10 est une quasi-copie du Pentax K10D. Il intègre un stabilisateur mécanique par déplacement du capteur de 10,2 mégapixels. D’aspect robuste, le GX10 a été conçu pour résister aux projections d’eau et de poussière. Il offre une excellente prise en main. Les boutons sont bien positionnés. On apprécie le bouton Raw, qui, lorsqu’il est pressé, permet de prendre la photo suivante au format Raw, le ‘ négatif numérique ‘. Pratique quand les conditions de prise de vues sont délicates et risquent de fausser la mesure de la cellule. Dernier atout du GX10, son viseur : de bonne taille, il est surtout très lumineux ?” bien pratique pour composer son image par faible luminosité.

Reflex – Alpha 700 – Sony : le plein de nouveautés

Le nouveau reflex de Sony apporte quelques innovations et corrige certains défauts du précédent modèle. Intégrant un capteur CMOS de 12,3 mégapixels, le reflex est compatible avec toutes les optiques Sony, mais aussi Konica-Minolta. Il accueille un nouveau processeur. Dénommé Bionz, celui-ci autorise une cadence de prise de vues à 5 images par seconde et réduit très efficacement le bruit numérique à forte sensibilité ?” nous l’avons constaté lors des tests. Autres atouts : un stabilisateur mécanique et un bel écran LCD de 7,62 cm de diagonale. Quant à la coque en alliage de magnésium, elle garantit une excellente robustesse. Les commandes sont protégées contre la poussière et les projections d’eau ; et son ergonomie est supérieure à celle du A100 ; surtout, le bruit au déclenchement est bien plus discret. Il était temps.

Reflex – D300 – Nikon : tout du pro

Sans conteste le plus abouti des reflex semi-professionnels. Il suffit de pointer l’?”il dans le viseur pour s’en convaincre : exceptionnel de luminosité et de précision, il couvre 100 % du champ de l’objectif. La qualité de fabrication du D300 est irréprochable. Réalisé en alliage de magnésium, il est traité contre la poussière et le ruissellement. Il intègre un capteur CMOS de 12,3 mégapixels. Il dispose en outre d’un système autofocus sur 51 points ?” un atout précieux pour accrocher un sujet en mouvement. Et cela d’autant que l’appareil offre une cadence de prise de vues à 6 images par seconde. Enfin, le D300 dispose du système Live View, qui autorise la visée par l’écran LCD de 7,62 cm, tout en conservant l’autofocus. Ce qui n’est pas le cas de son concurrent, le Canon 40D. Seul reproche : son prix trop élevé pour la plupart des photographes amateurs.

Reflex – 40D – Canon : le rêve de l’amateur

Reflex haut de gamme destiné aux amateurs-experts, voire aux professionnels, le 40D intègre un capteur CCD de 10,1 mégapixels. Couplé au processeur Digic III, celui-ci autorise une cadence de prise de vues de 6 images par seconde. De quoi envisager la photo sportive ou animalière. L’appareil gère remarquablement le bruit numérique : à 1 600 Iso, il s’apparente presque au grain des pellicules argentiques. Impressionnant. Le viseur a été légèrement amélioré, mais n’atteint pas la qualité de celui du Nikon D300. Le 40D dispose de la visée directe par l’écran LCD de 7,62 cm, mais l’autofocus n’est hélas pas disponible dans ce mode. L’ergonomie de lappareil est quasi irréprochable, et le boîtier en alliage de magnésium donne un sentiment de robustesse.

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Philippe Fontaine