- Trend Micro Titanium : une protection béton pour les gamers
- Un produit minimaliste et discret
- Impact sur les performances
- Une protection solide
- Limitations et conclusion
Titanium se différencie d’un CloudAntivirus de Panda Security sur deux points essentiels : tout d’abord, il est payant ; ensuite, il ne se contente pas de détecter les malwares, il protège aussi les utilisateurs en bloquant les accès aux pages Web malveillantes. Ainsi, les internautes ne peuvent plus s’exposer par inadvertance aux risques d’Internet.
Principe de fonctionnement
En réalité, la sécurité s’étend bien au-delà de la protection Web. Les programmes (qu’ils soient authentiques ou malveillants) qui tentent d’accéder à des adresses Internet dangereuses s’en verront refuser l’accès.
Ainsi, même si un tout nouveau malware réussit à s’infiltrer sur un système en utilisant des techniques de polymorphisme (qui permettent à un programme de n’avoir jamais deux signatures identiques lors de chaque duplication/infection), il ne pourra rien faire de bien grave puisqu’il sera incapable de contacter le hacker qui souhaite le piloter. En effet, le Smart Protection Network ne se contente pas uniquement de filtrer les URL, il peut aussi filtrer les adresses IP.
Une interface minimaliste
Titanium se veut le plus simple possible. Le logiciel possède très peu de paramètres et son interface utilisateur est dépouillée et limpide. Seul l’essentiel est là, y compris des journaux complets associés à un écran statistique très visuel.
La protection est par défaut plutôt silencieuse et peut même être rendue totalement muette. Le logiciel traitera alors tout seul la menace et consignera son action dans le journal, sans aucune autre forme d’avertissement. Ceux qui aiment qu’une protection se fasse la plus discrète possible seront servis.
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