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Les nouveaux paradis de la high-tech

The Standard, 12 février 2001, d’après la rédaction

Ces derniers temps, les dirigeants cherchent les bons endroits où s’implanter pour faire du business.” The Standard a ainsi scanné les Etats-Unis pour découvrir les nouveaux ” points chauds “.Car la net économie a redessiné la géographie américaine en recréant de nouveaux centres d’affaires.Cette nouvelle économie, qui était censée nous libérer des contraintes d’espace, repose en réalité sur un certain nombre de centres névralgiques.Les entreprises de la net économie ont certes besoin de peu de choses pour fonctionner. A condition de disposer des ressources humaines… Du coup, elles doivent s’implanter là où leurs employés souhaitent vivre.Cleveland, Buffalo, San Francisco ou Detroit n’attirent plus personne et dépérissent.Les environs de Boston ou la campagne de l’Utah sont, par contre, très prisés.Pour discerner les meilleures implantations, il faudra se laisser guider par les goûts de ces employés si convoités.Entre les jeunes recherchant des villes branchées, les familles en quête de banlieues saines pour élever leurs enfants et les dirigeants rêvant de plénitude à la campagne, le casse-tête est garanti !L’une des régions les plus prisées aujourd’hui se trouve sur la route 202, autour de Philadelphie.“Le style de vie bucolique allié à un fort climat d’affaires y a créé un véritable havre pour la high-tech.”Et s’il prenait l’envie à l’entreprise américaine de s’implanter à l’étranger, Toulouse figurerait parmi les quelques destinations privilégiées, aux côtés de Shenzhen en Chine, de Leeds en Angleterre, ou de Campinas au Brésil.Toulouse, où “les start up françaises disent “au revoir” à Paris ” !

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