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Les antiradars au banc d’essai

Rebaptisés officiellement “outils d’aide à la conduite”, les antiradars se présentent sous la forme de petits boîtiers ou d’application pour smartphone. Nous les avons testés. En voiture…

Validés par l’Etat depuis qu’ils ont été renommés “assistants d’aide à la conduite”, les antiradars sont de deux types : d’un côté, les petits boîtiers qui s’installent sur la planche de bord ou le pare-brise d’une voiture, de l’autre, les applications pour smartphones. Point commun : tous sont dits “connectés” et indiquent les “zones à risque” qui leur sont communiquées par leur communauté d’utilisateurs respective. Moralité, plus il y a d’utilisateurs d’un même produit et plus vous avez de chance d’être averti du “danger” au bon moment.

Faut-il acquérir un boîtier coutant plusieurs centaines d’euros et nécessitant parfois un abonnement ? Ou peut-on s’en remettre à une application gratuite ? Pour en avoir le coeur net, nous avons testé les appareils Wikango Max 2.0, le Nouveau Coyote, l’Inforad CI ainsi que les applications Waze, Avertinoo et Eklaireur, sur plusieurs milliers de kilomètres. Résumé en images et dossier complet dans le magazine Micro Hebdo n°752.

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David Nogueira et Jean-David Duarte