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Test : DiamondBack 3G, une souris hypersensible pour joueur hyperréactif

Précise et confortable, cette Razer est toutefois un peu trop légère et trop sensible pour toujours satisfaire.

L'avis de 01net.com

Razer DiamondBack 3G

Les plus

  • + Résolution élevée et variable
  • + Revêtement antidérapant
  • + Adapté aux gauchers

Les moins

  • - Prix

Appréciation générale

4 / 5

Note de la rédaction

Note publiée le 11/05/2010

Voir le verdict

Fiche technique

Razer DiamondBack 3G

Technologie Infrarouge
Résolution maxi du capteur 1800 ppp
Interface USB
Nombre de boutons 7
Voir la fiche complète

Razer DiamondBack 3G : la promesse

La DiamondBack  3G perpétue la lignée des souris pour gamers Razer avec un certain panache. Le fabricant de joujoux pour joueurs acharnés a listé de belles spécifications pour donner l’eau à la bouche. Mais dans les faits que donnent-elles ?

Razer DiamondBack 3G : la réalité

Comme toujours chez Razer, la finition est de haute qualité. Un rapide tour du propriétaire nous montre que cette souris peut aussi bien s’adapter aux joueurs gauchers que droitiers. Sa forme est parfaitement symétrique et les deux boutons latéraux n’y échappent pas. On retrouve quatre boutons latéraux, les classiques clics droits et gauches ainsi que la molette. Molette précise et réactive, pratique pour changer d’arme, que certains auraient préféré plus crantée afin de mieux sentir les étapes de défilement.

Size matters
A la prendre en main, on constate assez rapidement que, comme souvent chez Razer, mieux vaut avoir des paluches de tailles moyenne ou petite, si on joue avec la paume collée au corps de la souris. Viennent ensuite plusieurs surprises pas forcément agréables.

Sensibilité exacerbée
La première, la DiamondBack 3G est extrêmement légère. Trop parfois, quand le joueur un peu tendu ne peut plus se permettre le moindre soubresaut. On reste tout de même dans de la haute précision. La deuxième déconvenue vient de l’extrême sensibilité des boutons gauche et droit.
Si on peut apprécier de vider un chargeur en quelques clics gauches, on se retrouve vite obligé de rester le majeur en l’air de peur d’activer le bouton droit. Sans doute est-ce une question d’habitude, mais cette souris est certainement l’une des plus sensibles (côté boutons) que l’on ait eu l’occasion de voir passer entre nos mains. Et, vous l’aurez compris, ce n’est pas toujours pour le meilleur.

Pilote modulaire
Côté soft, Razer est fidèle à lui-même, le pilote est relativement léger et surtout modulaire. Cela permet de fermer les éléments qu’on juge inutile. Ainsi, ceux qui jouent toujours avec la même résolution en ppi pourront désactiver le réglage de la sensibilité « on the fly » (soit 2,3 Mo).
Même chose pour le RazerTray (3 Mo de mémoire système consommée), qui donne accès aux réglages avancés de la souris depuis la zone de notification de Windows. Enfin, le cœur du pilote pèse tout juste 1,5 Mo. Autant dire qu’à moins 7 Mo l’ensemble du pilote, nos machines actuelles ne devraient pas souffrir de la charge.

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