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Toute la musique que j’aime…

Une nouvelle génération de sites Web communautaires permet d’écouter de la musique gratuitement et en toute légalité. Et, surtout, de faire des découvertes et de les partager avec d’autres internautes. Démonstration avec l’excellent Last.fm.

Plus riches, plus pratiques, et plus éclectiques que les webradios, les sites musicaux communautaires connaissent un engouement à la mesure de leur développement. Une petite révolution dans la manière d’aborder la musique, que les passionnés de tout bord n’ont pas manqué de s’approprier. L’écoute personnalisée sur Internet est devenue le nouvel apanage des adeptes du Web 2.0. Au programme : diffusion en ligne de leurs groupes ou artistes favoris, écoute de radios proposant des titres sélectionnés en fonction de leurs goûts personnels, et ?” cerise sur le gâteau ?” analyse de leurs choix musicaux pour découvrir de nouveaux artistes.Les concepteurs du site communautaire Last.fm, créé en 2002 à Londres et accessible en 12 langues, ont bien compris l’attrait que pouvaient exercer sur les amateurs de musique ces services de partage parfaitement légaux et gratuits. Fort d’un catalogue complet de titres enrichi au quotidien, Last.fm affiche une interface claire et dynamique pour écouter des extraits de ses morceaux favoris, être orienté vers des styles similaires, ou découvrir des artistes inconnus. Un véritable laboratoire musical, qu’alimentent en permanence les internautes eux-mêmes, de nombreuses statistiques, établies selon le profil de chaque utilisateur, les artistes, et les albums les plus écoutés, ou des recommandations pertinentes.D’autres sites ont investi ce créneau : les Français Deezer.com et Radio.blog.club.fr. , ou encore l’Américain Pandora.com. Chacun a ses spécificités, mais tous ont en commun la même passion pour la découverte musicale.

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Nicolas Six