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Petits défauts à la chaîne

Comme la plupart des portables Vaio, le FS115Z a la classe. Il est même très ‘ tendance ‘, avec son châssis aux nuances de gris variées…

Comme la plupart des portables Vaio, le FS115Z a la classe. Il est même très ‘ tendance ‘, avec son châssis aux nuances de gris variées et son clavier immaculé ! C’est aussi un
modèle équipé au goût du jour, avec un disque dur de grande capacité, un processeur Pentium M de dernière génération et un circuit graphique nVidia utilisant la récente technologie TurboCache. Avec ce système, la puce 3D peut emprunter jusqu’à
128 Mo sur la mémoire vive lorsque ses 32 Mo de mémoire dédiée ne suffisent plus à faire fonctionner les logiciels graphiques exigeants. Mais cela ne suffit pas à faire du FS-115Z une bête de course en 3D : car s’il anime correctement
un jeu ancien tel Unreal Tournament 2003, il est à la peine avec des titres exigeants comme Far Cry ou Doom III. En fait, ce portable se montre surtout à son aise dans des domaines plus
créatifs comme la vidéo, la photo et l’audio, grâce à sa logithèque très fournie en outils multimédias. L’ennui, c’est qu’il souffre de nombreux petits défauts agaçants : la luminosité de l’écran n’est pas uniforme ; le nombre de ports USB
est réduit, et il n’y a pas de sortie TV ; le lecteur de cartes mémoire est limité aux Memory Stick, le format de Sony ; le disque dur se traîne (il fonctionne à 4 200 tr/min au lieu de 5 400 tr/min sur de nombreux autres
portables) ; et l’autonomie n’atteint même pas 1 h 30 en utilisation intensive (lecture de DVD-vidéo). C’est beaucoup pour une seule machine, surtout à ce prix-là !

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Christophe Gauthier