Capture d’une image sans pratiquement de contrôle sur le cadrage, même en se servant d’une loupe, et visualisation d’un contenu avec un grain trop visible, parfois sans possibilité de zoom (à quoi servirait-il d’ailleurs ?), voilà ce qu’offrent les plus mauvais des téléphones de ce test. La taille, la qualité mais aussi la résolution de l’écran des GSM deviennent des éléments critiques à partir du moment où les constructeurs essaient de leur ajouter un appareil photo. Il faut bien lire ‘ essayer ‘, car on ne peut pas non plus passer sous silence la faible intégration à l’environnement PC pour le stockage et la transmission des images. Le moins mauvais des écrans n’offre que 36 608 pixels, ce qui n’est déjà pas mirobolant. Que penser alors des écrans du test qui n’en contiennent que 8 080 ? Rien de bon. Ils ont non seulement une densité en pixels des plus faibles (2,5 fois moins), mais aussi une dimension ridicule. La fonction crée l’organe dit-on. Il faut croire quelle a été bien mal définie pour aboutir à des organes aussi peu fonctionnels.
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