Il a de grands yeux bleus qui clignotent, des ailes noires et des pattes jaunes. Il tourne sur lui-même, bat des ailes, claque du bec et parle. Lui, c’est Tux, le pingouin. Les adeptes de Linux le connaissent bien, c’est leur mascotte. Tux Droïd est une sorte de petit frère évolué du Nabaztag, le lapin communicant.Ce sympathique manchot fait de prime abord bonne impression: l’objet est joli, avec une belle finition et un design très réussi. Des détails séduisent, comme le petit émetteur USB en forme de poisson qui le relie sans fil au PC. Tux Droïd se pilote depuis un ordinateur fonctionnant avec Windows ou avec Linux, ou encore à l’aide de sa télécommande.Zélé et polyvalent, Tux vous prévient de l’arrivée d’un courriel, le lit, donne la météo, vous réveille, vous lit les flux RSS, diffuse de la musique et transmet la voix sur IP (VoIP). Mais l’interface logicielle qui permet de le piloter est malheureusement loin d’être accessible. Les commandes ne sont pas toutes traduites, et leur utilisation pas intuitive pour deux sous. Les deux voix, masculine ou féminine, ne sont pas très agréables et couvertes, si le volume n’est pas assez fort, par les cliquetis de l’engin quand il remue ses ailes ou son becL’avis de la rédaction
On aime
Le design, la variété des fonctions.
On n’aime pas
Le manque d’intuitivité de l’interface logicielle, le bruit qu’il produit lorsquil bouge, les voix.
Mention assez bien
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