Voici quelques conseils ‘ de terrain ‘ qui pourront parfois vous éviter quelques déceptions en regardant vos films au retour.Le scénario de votre film doit guider le spectateur. Consultez les guides touristiques et rendez-vous dans un syndicat d’initiative pour connaître les événements locaux. N’hésitez pas à questionner autour de vous. Tous les
thèmes peuvent devenir prétextes à raconter une histoire : un port, un marché, une promenade… il n’y a pas de limites. Sur un marché, par exemple, pensez, si vous le pouvez, à venir au moment où les commerçants mettent en place leurs
étals et prenez quelques scènes pour illustrer l’ambiance : voix criarde des vendeurs, découpe des poissons ou pesée des fruits. Si vous êtes accompagné, transformez votre conjoint en commentateur en charge de présenter la scène. Comme un
guide, il pourrait par exemple rapporter quelques éléments géographiques (localisation du paysage, date, kilométrage parcouru, etc. ) à la manière des animateurs de documentaires.Ne cherchez pas toujours à utiliser tout le matériel dont vous disposez. Pour certaines scènes fugaces, il est préférable de filmer au poing la manifestation quitte à refaire ultérieurement quelques prises plus léchées avec un
pied.Le soir, jetez un coup d’?”il sur les vidéos de la journée et notez les scènes à tourner à nouveau. Si vous enregistrez en DV, pensez bien à rembobiner vos cassettes avec la fonction Search end afin d’être
sûr de ne pas effacer les prises de vues.Enfin, il est parfois utile d’avoir quelques enregistrements de musique locale pour recréer une ambiance sonore au moment du montage. À défaut, vous pouvez acheter un CD chez un disquaire ou au syndicat d’initiative.
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