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La ville de haut en bas

Une ville regorge de points de vue en hauteur : un appartement au dernier étage, le clocher d’une église, un pont, le haut d’une rue en…

Une ville regorge de points de vue en hauteur : un appartement au dernier étage, le clocher d’une église, un pont, le haut d’une rue en pente… De là, vous pourrez saisir de larges panoramas au grand-angle, des détails au téléobjectif ou de vraies plongées sur le sol en dessous de vous. Mais attention à la météo : une vue panoramique exige un temps bien dégagé et une lumière douce de début de matinée ou d’après-midi, alors que des plongées à 180?’ sont plus intéressantes sous le soleil, entre 11 h 00 et 13 h 00, quand les ombres sont bien marquées. Ne négligez pas la mise au point (à l’infini, en mode paysage, ou manuel pour un panorama) tout comme la profondeur de champ (préférez une ouverture F:8 ou F:11). Au téléobjectif, activez le stabilisateur optique ou calez votre appareil pour diminuer les risques de flou, et concentrez-vous sur le détail important pour réaliser la mise au point.Jouez maintenant le point de vue inverse, et observez le monde au ras du sol. Vous serez surpris du résultat ! Ainsi, de tout premiers plans peuvent dépasser des arrière-plans habituellement bien plus larges. En position courte focale, vous pouvez combiner ce point de vue inhabituel à une mise au point automacro sur le sol (icône fleur, ne pas confondre avec le mode super-macro) ; seuls quelques détails au tout premier plan seront nets et tout le reste flou, la ville prenant des airs irréels.

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La rédaction