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La casse du siècle

Imaginez des courses automobiles où le gagnant n’est pas forcément le plus rapide, mais le plus violent. C’est toute la ‘ philosophie ‘ de FlatOut 2…

Imaginez des courses automobiles où le gagnant n’est pas forcément le plus rapide, mais le plus violent. C’est toute la ‘ philosophie ‘ de FlatOut 2 et, même si ce
second volet n’apporte pas grand-chose de nouveau par rapport à son prédécesseur (excepté des graphismes plus fins), le plaisir reste intact.Les courses mettent toujours en scène huit voitures de stock-car classées en trois niveaux de puissance. Le but consiste à remporter la course (ou au moins à se classer dans les trois premiers) mais aussi à causer le maximum de dégâts
aux adversaires. Les circuits, techniques, sont jonchés d’obstacles (vitrines, échafaudages, clôtures, etc.) la plupart pouvant être détruits. La difficulté, bien qu’élevée, est mieux dosée que dans le précédent opus. On remporte sans mal les
premières phases du championnat et, par conséquent, suffisamment d’argent pour améliorer son bolide.Outre les courses, FlatOut 2 propose des épreuves débiles ?” mais savoureuses ?” dans lesquelles il s’agit de foncer sur une piste d’élan et de projeter le pilote au travers du pare-brise (le plus
haut, le plus loin), au travers de cercles de feu ou dans une piscine, et cela après de multiples ricochets ! Enfin, dans les épreuves de derby, huit véhicules coincés à l’intérieur d’une immense arène se percutent inlassablement jusqu’à ce
qu’il n’en reste plus qu’un.

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Philippe Fontaine