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Derviche compris

Mêlant habilement exploration, plate-forme et combat, Prince of Persia, l’âme du guerrier s’impose d’emblée comme une véritable référence du jeu d’action. Le jeu commence en plein…

Mêlant habilement exploration, plate-forme et combat, Prince of Persia, l’âme du guerrier s’impose d’emblée comme une véritable référence du jeu d’action. Le jeu commence en plein combat alors que le héros se rend
dans un temple en ruines pour détruire le sablier du temps, un artefact maléfique qui permet à son possesseur de contrôler le cours des choses. Comme dans le précédent volet, le maniement du prince est stupéfiant de simplicité et d’efficacité. Il
effectue les mouvements les plus impressionnants, sautant par-dessus ses ennemis, les projetant dans les airs ou les tranchant en deux en leur plongeant dessus. Désormais, il peut aussi utiliser les objets du décor ­ murs, colonnes ­ pour réaliser
un type d’attaque particulier. Et tout cela s’effectue très facilement. Mieux, lorsqu’on enchaîne les mouvements, on parvient à effectuer des attaques dignes des chorégraphies d’un film d’arts martiaux. Dans les phases de plates-formes, l’aisance du
prince est tout aussi prodigieuse. Il court le long des murs, effectue des sauts périlleux, bondit de colonne en colonne. Il peut désormais planter son épée dans les tentures pour se laisser glisser jusqu’au sol, sans dommages. Le plus étonnant,
c’est que la fluidité est parfaite, même sur une configuration moyenne. Les décors sont superbes. Le prince les parcourt dans le présent, mais également dans le passé. Les ruines laissent alors la place à des salles monumentales somptueusement
décorées… et à des couloirs riches en pièges parfaitement fonctionnels.

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Philippe Fontaine