Passer au contenu

Un PC portable parfait pour la bureautique

Bon marché, complet et à la finition soignée, cet ordinateur n’a qu’un point faible, ses performances 3D.

Hormis ce petit inconvénient la configuration d’ensemble est complète. Le processeur double cœur embarqué, un Core Duo T2080
cadencé à 1,73 Ghz, n’est pas très rapide, mais il ne faut
pas oublier qu’il n’y a pas si longtemps, il représentait le haut de
gamme de la puissance de calcul sur portable. Il en va de même pour le
Go de mémoire vive, aujourd’hui devenu un standard.

Les 120 Go de
stockage devraient largement suffire à couvrir vos besoins en matière
de bureautique et Internet. Sinon, l’omniprésent graveur double couche
vous permettra de graver vos données et ainsi soulager le disque dur.
Les haut-parleurs stéréo, quant à eux, bénéficient toujours de la
technologie d’optimisation des basses propre à Toshiba.

La connectique est également très complète : 4 ports USB 2.0, 1
Firewire, 1 port LAN RJ45, Wifi 802.11 b/g, un lecteur de cartes
mémoire 5 en 1 et même un petit modem à la norme V90, qui pourra
toujours rendre service. La Webcam (1,3 Mégapixels) et le microphone
intégré feront merveille lors de conversations vidéo. Enfin, comble de
l’ergonomie, le clavier dispose d’un pavé numérique, pour une saisie
forcément simplifiée. Que demander de plus ?

A l’image de tous les modèles de la nouvelle gamme Satellite, ce
P200-13F bénéficie d’une garantie internationale d’une durée d’un an,
couvrant un éventuel bris d’écran, fruit d’un partenariat avec GAN
Eurocourtage. Elle prévoit ainsi la réparation ou un éventuel
remplacement de la machine dans un délai annoncé d’environ cinq jours.
En cas de problème, il suffira d’appeler le service d’assistance
clients (numéro surtaxé) et de déclarer le sinistre.

Si Windows Vista Premium est livré avec cette machine, aucun autre
logiciel n’est prévu. Au vu de son équipement et de son prix, 899
euros, ce n’est finalement pas si grave.

🔴 Pour ne manquer aucune actualité de 01net, suivez-nous sur Google Actualités et WhatsApp.


Henri Frey