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Turning Point : Fall of liberty

En 1951, les nazis débarquent à New York… Si le scénario est original, la durée du jeu est trop courte et les graphismes décevants.

Il aurait suffi que Churchill meure prématurément en 1933 pour que le cours de l’Histoire s’en trouve changé. Et qu’en 1951, les nazis débarquent à New York… Dans ce contexte, le joueur incarne un ouvrier du bâtiment enrôlé
dans une résistance en trois actes, à New York, Washington et Londres. Concrètement, il faudra rejoindre des groupes de résistants, soutenir un siège, investir, piéger, éliminer et au final, désamorcer une bombe atomique.Hélas, si ce scénario chronique se révèle très excitant, le reste ne suit pas. Le jeu ne propose en réalité que du shoot très classique dans des décors moins spectaculaires et moins réussis graphiquement que ce
que l’on aurait été en droit d’attendre. D’autant que la durée de vie en solo est faible. Bref, c’est ce qu’on appelle un pétard mouillé.

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Hervé Cabibbo