L’info
Facebook vient de communiquer des chiffres sur sa campagne de suppression des vidéos du massacre de Christchurch, commis vendredi dernier en Nouvelle-Zélande. Dans les 24 heures qui ont suivi la tuerie, Facebook a retiré 1,5 million de vidéos, dont 1,2 million ont été bloquées lors de leur chargement.
In the first 24 hours we removed 1.5 million videos of the attack globally, of which over 1.2 million were blocked at upload…
— Meta Newsroom (@MetaNewsroom) March 17, 2019
Ce que ça implique
Facebook précise que même les vidéos qui ne contiennent pas de contenu « graphique » (par exemple où les corps ont été floutés) seront supprimées, par respect pour les personnes affectées par la tragédie et pour répondre aux préoccupations des autorités locales. En revanche, le réseau social n’explique pas pourquoi il n’a pas été capable de bloquer la publication de 300 000 vidéos sur les 1,5 million, soit 20% et pourquoi la diffusion en direct de la tuerie n’a pas été stoppée plus tôt.
Le contexte
Vendredi dernier, un homme a commis un massacre dans deux mosquées de Christchurch en Nouvelle-Zélande. Il était muni d’une caméra de type GoPro et a diffusé en direct ses meurtres grâce à Facebook Live. Facebook a fermé le compte du tueur une heure après l’attaque mais la vidéo avait déjà été partagée sur Twitter, YouTube et … Facebook.
Source :
Facebook
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