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Discovery Server au coeur des outils de collaboration de Lotus

Filtrage collaboratif, catégorisation des informations selon le profil, publication multicanal,…Discovery Server, l’intelligence de la K.Station, s’appuie sur tous ces éléments pour offrir aux employés des sites marchands la bonne information au bon moment.

Refondu dans la K.Station – gestion de l’interface collaborative – et le Discovery Server – solution de gestion de la connaissance, le projet Raven prend enfin sa forme définitive. Si Lotus n’a pas vraiment innové sur un plan technologique, c’est un tout nouveau produit qu’il présentait pour la première fois lors de Lotusphere, sa grand messe annuelle à Orlando. “Technologiquement , cela faisait trois ans que nous étions prêts, affirme D. Newbold, chef de produit Discovery chez Lotus. Il nous manquait la prise en compte de la dimension humaine “.Partant du constat que les utilisateurs rechignent à traiter de l’information pour les autres mais qu’ils le font pour leurs besoins personnels, Lotus a complètement révisé ses visions du travail collaboratif et du knowledge management. Autrefois organisée autour du département de l’entreprise, cette nouvelle solution vise à reporter toute l’organisation de la connaissance sur l’individu. ” Les entreprises doivent s’attendre à une période d’apprentissage et à un impact culturel important ” affirme Scott Coopers, chef de produit Discovery chez Lotus.

Discovery Server dresse des profils utilisateurs

Pour tenir cet engagement, Discovery Server s’appuie sur les recettes du commerce électronique. Chaque action de l’utilisateur est analysée par un outil de filtrage collaboratif qui permet de déterminer ses affinités avec des concepts clés.Le profiling de chaque utilisateur s’appuie autant sur ses actions (combien de fois a-t-il interrogé la base de connaissance sur un sujet donné), que sur les données qu’il produit (combien d’e-mails envoyés contenaient-t-ils le sujet).L’ensemble des traitements (indexation, catégorisation, mesure des affinités avec le concept, etc.) sont entièrement automatiques. Mais Scott Coopers reconnaît ” qu’il faut une grande quantité de données pour initier le profiling des utilisateurs et la catégorisation des informations. Une période d’apprentissage du système est donc inévitable “.

Un nouveau type d’outil qui évalue le besoin de collaboration

Le duo indissociable K.Station et Discovery ne peut être assimilé à une solution d’intranet, de travail collaboratif, à un système de messagerie ou à un portail d’entreprise : il répond à l’ensemble de ces besoins. Concrètement, lorsqu’un utilisateur de la K.Station se connecte, une interface personnalisée lui présente des liens vers les informations dont il est censé avoir besoin.Le résultat d’une recherche lui fournit : une liste de document et d’url, les noms des experts du domaine, etc. SameTime – messagerie instantanée – lui permet alors de visualiser les ” experts ” connectés pour entrer directement en contact avec eux.Si le besoin de collaboration nécessite quelques jours ou semaines, l’utilisateur sera capable de créer un espace de collaboration en quelques minutes à l’aide de l’outil QuickPlace. Cet espace comporte alors tous les outils de partage et de communication dont on puisse rêver : messagerie instantanée, partage et révision de documents, dossiers publiques et privés, etc.Dernier atout de ce duo de choc: l’ouverture. La K.Station intègre l’ensemble des fonctionnalités de Lotus iWeb Access pour faciliter laccès aux informations par le Web et Lotus Everyplace pour permettrent aux utilisateurs de terminaux mobiles de se connecter à la K.Station.

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Frédéric Bordage