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Banque-assurance: la richesse de la Banque de France

Deux établissements publics ont la faveur des informaticiens : la Banque Centrale Européenne et la Banque de France.

Deux banques publiques sont en tête, devant les établissements privés. Si l’an dernier n’avait pas vu de changements dans le classement des établissements bancaires et des assurances, 2001 montre, à l’inverse, que les informaticiens du secteur privilégient désormais le confort et la sécurité. Du coup, la Banque de France et la Banque Centrale Européenne se partagent les deux premières marches du podium. Il est vrai que leur informatique est très variée, voire riche : passage à l’euro, mise en réseaux transnationaux, échanges de données sécurisés. L’analyse des notes par critère témoigne des grandes idées mises en avant : le niveau de salaire (même si cela n’est pas foncièrement vrai), la qualité de vie (un certain statut) et la pérennité (la sécurité). Quant aux perspectives de carrière, elles atteignent un sommet pour l’établissement européen. Juste en dessous, BNP Paribas progresse en termes d’intérêt du travail et de carrière. Preuve, comme pour AXA-UAP, que les fusions – loin d’inquiéter – génèrent des projets susceptibles de favoriser la carrière.Premier lors des deux précédents sondages, le Crédit Agricole recule de quatre places, chutant en termes de perspectives de carrière, de qualité de vie et de pérennité. La frilosité des projets internet et l’autonomie des caisses deviennent un handicap. Même si les autres établissements bancaires, déjà lancés dans de grands projets de commerce électronique – Société Générale, Crédit du Nord ou Crédit Lyonnais-, n’arrivent toujours pas à progresser.

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