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Nav+, la nouvelle arme de Coyote pour lutter contre Waze

Avec le Nav+, Coyote s’adresse une nouvelle fois aux grands rouleurs, prêts à payer pour des services d’information trafic et alertes de zones de danger. Equpé d’un écran de 5 pouces, ce GPS propose tous les services connectés de Coyote.

Cette année encore Coyote est présent à l’IFA de Berlin où il présente son nouveau produit le Nav+. Cette référence ne vous est peut-être pas complètement inconnue. En effet, ce n’est pas la première fois que le constructeur dévoile un appareil qui prend la forme d’un GPS, intégrant ses services connectés.
Le Nav+ ressemble donc à un GPS 5 pouces classique, intégrant une cartographie Europe. En prime, il affiche les différentes alertes de ce service communautaire : zone de danger, zone à risques, ralentissements, accidents, etc. Dans cette interface, qui nous rappelle celle de l’application mobile (iOS et Android), les alertes sont affichées sur la partie droite de l’écran, alors que s’affichent les instructions de guidage sur la partie gauche de l’écran. Et lorsqu’on parle de GPS, il est évident que le Nav+ intègre une fonction d’information trafic, basé sur les données collectées par Coyote.

Le Coyote Nav+ est toujours compatible avec les fonctions de reconnaissance vocale qui permettent de partager une alerte avec la communauté sans quitter la route des yeux ni même ôter les mains du volant. Côté commande, la nouveauté concerne aussi le bouton sensitif situé sous l’écran. Celui-ci permet d’accéder aux différentes icônes pour signaler un danger.
Ce nouveau Coyote Nav+, nous l’avons découvert alors qu’il était à peine sorti des cartons et nous vous l’avions présenté au cours d’un Facebook live.

D. Nogueira, 01net.com – L’interface de navigation du Coyote Nav+ ressemble à celle de l’application mobile

A 349 euros, le Nav+ est un produit assez cher, qui se frotte évidemment à Waze, son principal concurrent dont l’application gratuite a déjà séduit une très (très, très) large communauté. Ce tarif, Coyote le justifie par la qualité de son service (évidemment), par les améliorations matérielles (l’écran est lumineux et le produit globalement réactif) et le service de mise à jour à vie de la cartographie européenne. Sauf que pour en profiter, il faut s’acquitter du traditionnel abonnement de 12 euros par mois, ou 144 euros par an ou 240 euros pour deux ans.

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