- Le grand match des navigateurs Internet
- 1er ex aequo : Chrome, pour les applications en ligne
- 1er ex aequo : Opera, le plus rapide
- 3e : Firefox, le plus extensible
- 4e ex aequo : Safari, Chrome en moins bien
- 4e ex aequo : Flock, pour le Web 2.0
- 6e : Internet Explorer, leader sur le déclin
- 7e : Avant Browser, une surcouche aboutie
- 8e : K-Meleon, des choix pénalisants
- 9e : GreenBrowser, mélange bizarre
- 10e : Slimbrowser, léger et sans relief
- 11e ex aequo : Maxthon, sacrée déception
- 11e ex aequo : Sleipnir, made in Japan
- Ceux que Microsoft a écartés
- Comment nous avons testé les navigateurs
Conçu par des développeurs français, ce navigateur exploite, comme Firefox et Flock, le moteur de rendu Gecko. Pourtant, ses performances sont loin d’être au niveau de ses deux concurrents ; elles sont même les plus faibles du lot. La raison ? La version du moteur employée. Alors que Firefox 3.6.3 embarque Gecko 1.9.2 et Flock 2.5.6 s’appuie sur 1.9.0, K-Meleon fonctionne avec Gecko 1.8.1, une version qui se trouvait déjà dans Firefox 2 sorti fin 2006. La version 1.6 de K-Meleon, en cours d’élaboration, emploiera une version plus récente du moteur… Mais en attendant, il faut se contenter de traitements Javascript deux fois plus lents qu’avec IE8 (cela se ressent bien durant la navigation) et d’une certaine lenteur à l’ouverture d’onglets multiples.
Notons aussi quelques maladresses dans l’interface (la barre d’onglets, par défaut, est réduite) et la gestion des extensions qui n’est pas unifiée. Bref, malgré des développeurs motivés et dévoués, ce navigateur présente quelques handicaps qui pourraient décourager les utilisateurs peu bidouilleurs.
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