- Le grand match des navigateurs Internet
- 1er ex aequo : Chrome, pour les applications en ligne
- 1er ex aequo : Opera, le plus rapide
- 3e : Firefox, le plus extensible
- 4e ex aequo : Safari, Chrome en moins bien
- 4e ex aequo : Flock, pour le Web 2.0
- 6e : Internet Explorer, leader sur le déclin
- 7e : Avant Browser, une surcouche aboutie
- 8e : K-Meleon, des choix pénalisants
- 9e : GreenBrowser, mélange bizarre
- 10e : Slimbrowser, léger et sans relief
- 11e ex aequo : Maxthon, sacrée déception
- 11e ex aequo : Sleipnir, made in Japan
- Ceux que Microsoft a écartés
- Comment nous avons testé les navigateurs
D’origine japonaise où il serait le troisième navigateur le plus utilisé derrière Internet Explorer et Firefox, Sleipnir (qui emprunte son nom au cheval à huit pattes du dieu Odin dans la mythologie nordique) reste une surcouche pour Internet Explorer. Donc avec des performances à l’avenant.
Doté de quelques fonctions pratiques (bloqueur de pubs, affichage des onglets ouverts sous forme de miniatures dans une page unique), il peut être équipé d’un plug-in permettant de changer le moteur de rendu (en passant de Trident à Gecko et vice versa). Malheureusement, ce module n’a pas fonctionné lors de nos tests… S’il est assez lent au démarrage (4,7 s à notre test), il peut se montrer rapide en ouverture d’onglets multiples (10,1 s ). Dommage que les possibilités d’évolution soient aussi faibles : 13 extensions et une trentaine d’habillages.
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