- Le grand match des navigateurs Internet
- 1er ex aequo : Chrome, pour les applications en ligne
- 1er ex aequo : Opera, le plus rapide
- 3e : Firefox, le plus extensible
- 4e ex aequo : Safari, Chrome en moins bien
- 4e ex aequo : Flock, pour le Web 2.0
- 6e : Internet Explorer, leader sur le déclin
- 7e : Avant Browser, une surcouche aboutie
- 8e : K-Meleon, des choix pénalisants
- 9e : GreenBrowser, mélange bizarre
- 10e : Slimbrowser, léger et sans relief
- 11e ex aequo : Maxthon, sacrée déception
- 11e ex aequo : Sleipnir, made in Japan
- Ceux que Microsoft a écartés
- Comment nous avons testé les navigateurs
Avec Chrome, Safari est le second navigateur du ballot screen à s’appuyer sur le moteur de rendu Webkit. Mais de toute évidence, les deux butineurs n’utilisent pas la même version du moteur, ou bien ils l’ont intégrée de manière différente : leurs résultats à nos tests de rapidité sont bien différents, Safari se situant toujours en deçà de Chrome.
Avec Peacekeeper, l’écart est flagrant : 3 889 points pour le navigateur d’Apple, contre 4 719 pour Chrome. Les résultats sont plus proches avec Sunspider : 430 ms pour Apple, 398 ms pour Google, le plus court étant le meilleur. Malheureusement, Safari a superbement raté notre test d’ouverture simultanée de dix onglets. Malgré plusieurs tentatives, y compris sur différents PC, impossible pour le navigateur d’achever la tâche en moins de deux minutes, alors que tous les autres y parviennent en moins de 20 secondes !
Peu évolutif, Safari se rattrape avec quelques fonctions sympa, comme l’intégration du mode de défilement CoverFlow pour consulter ses signets, ou la page dynamique Top Sites qui affiche sur une page des vignettes pour les douze sites les plus visités.
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