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Supreme Commander

Même si le scénario et l’univers proposés n’ont rien d’original, ce titre remplit parfaitement sa mission qui est de faire du joueur un fin stratège.

Dix ans après Total Annihilation, voici la nouvelle ?”uvre de Chris Taylor. Disons-le d’emblée : c’est du lourd. S’il ne renouvelle pas le genre, Supreme
Commander
revient à ses sources ?” la stratégie, plus que la tactique. Pour le joueur, cela signifie qu’il ne suffit pas de produire un maximum d’unités pour l’emporter. Il doit aussi prendre en compte les
particularités de chacune et les associer. Ajouté à l’immensité des champs de bataille, dont on ne prend conscience que petit à petit, ce trait donne une rare ampleur au jeu. Suffisante, en tout cas, pour lui pardonner ses seuls vrais défauts
que sont le côté vu et revu de l’univers proposé, le classicisme des campagnes, et la mise en scène dénuée de rythme.

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Stephan Schreiber