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Ses quatre points faibles

Une résistance limitée aux chocsDe l’avis des premiers utilisateurs, il faudra améliorer la solidité des attaches de la bandoulière et renforcer la protection de l’écran et…

Une résistance limitée aux chocs

De l’avis des premiers utilisateurs, il faudra améliorer la solidité des attaches de la bandoulière et renforcer la protection de l’écran et des connecteurs. Le produit n’est donc pas encore complètement adapté à une exploitation quotidienne de la sixième à la troisième, comme c’était initialement prévu.

Des batteries pas assez endurantes

Le problème de l’autonomie du cartable se pose également. Il faut que l’élève puisse exploiter cet outil toute la journée. En l’état, les batteries ne durent pas assez longtemps en utilisation intensive.

Un coût trop élevé

Le cartable électronique est aujourd’hui très cher : entre 15 000 et 20 000 F (2 287 et 3 049 E) l’unité. Les collectivités locales chargées de l’achat des manuels scolaires ne pourront peut-être pas prendre en charge la totalité de ces dépenses estimées, par Havas, à 1,5 milliard de francs (230 millions d’euros).

Des contenus pas encore standards

Pour l’instant, le prototype de Fujitsu-Siemens a été développé pour les contenus numérisés d’Havas. Mais ce cartable, pour s’imposer, devra accepter des documents multimédias provenant d’autres éditeurs sous peine d’être boudé par certains enseignants.

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Eric Connehaye