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MMO et free to play : instance 7, Dofus tient salon

Les 17 et 18 avril derniers, Ankama tenait sa convention à Paris, l’occasion pour les fans de Dofus de se rencontrer et de s’approcher de leur jeu préféré.

Les 17 et 18 avril dernier, Ankama tenait sa convention à Paris, l’occasion pour les fans de Dofus de se rencontrer et de s’approcher de leur jeu préféré.

Frigost, en dégivrage

L’ambiance est étrangement studieuse samedi après-midi, dans le hall 5 du parc des expositions de la porte de Versailles. C’est un gigantesque parterre de PC qui nous accueille et avec lui une centaine de têtes blondes affairées à décortiquer la démo de la prochaine extension de Dofus : Frigost. Les visages sont tour à tour crispés, souriants, inquiets, mais le plaisir de mettre la main sur une partie du contenu attendu depuis plus de trois ans est bien palpable.

Cette nouvelle extension s’annonce bien plus imposante que la dernière en date (Otomaï) et propose de découvrir l’île de Frigost, gelée dans le temps par Djaul en personne. Elle sortira sous forme d’épisodes de manière à « adapter le tir en fonction des souhaits de la communauté » et si la phase de bêta devrait commencer sous peu, la date de sortie définitive n’est toujours pas connue.

Slage, on découpe en famille

L’occasion fut également donnée d’assister à la présentation de Slage, le premier jeu PC entièrement en 3D temps réel du développeur. Très inspiré de Diablo, ce « hack-n-slash-brutal-kawaï » multijoueur permet d’investir l’une des classes phares de Dofus ou Wakfu et de faire sa loi dans des donjons générés aléatoirement, pour accumuler richesse, XP et nouvelles panoplies.

Jouable jusqu’à quatre simultanément, le jeu ne propose pas de système de combo entre joueurs, mais la complémentarité au niveau des sorts permet d’intéressantes stratégies de combat : l’archer et le soigneur pourront, par exemple, se protéger derrière un mur de glace créé par le magicien, quand une classe au corps à corps pourra sauter ce mur pour aller au contact. On notera que pour la première fois dans un jeu Ankama, l’hémoglobine fait son apparition, mais qu’une option de contrôle parental permettra de moduler son abondance. « On veut pousser le carnage », glisse le chef de projet. Oui, mais en douceur.
Au niveau du modèle économique, le jeu sera disponible à l’achat en téléchargement et il n’y aura pas d’abonnement mensuel. Le jeu est en développement depuis tout juste un an et aucune date de sortie n’est encore arrêtée.

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Richard Homsy