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Les vainqueurs : on aime, on n’aime pas…

Les deux imprimantes ayant remporté ce comparatif ont forcément un bon nombre de qualités. Mais elles ont aussi de petits défauts… Revue de détail.

Lexmark E260D

On aime… la facilité d’installation du toner


Installer la cartouche de toner est parfois une opération délicate, et cette poudre noire est très salissante. Sur la Lexmark, tout se passe en façade, et le logement de la cartouche est aisément accessible. Le système est bien conçu et
on remplace le toner sans avoir à retirer le tambour.

On aime… l’impression recto-verso


Si la plupart des imprimantes de ce banc d’essai proposent une fonction recto-verso, celle-ci est presque toujours manuelle. Il faut alors attendre la fin de l’impression pour retourner la liasse de feuilles et, parfois, faire un tri. Ce
qui peut s’avérer très fastidieux pour une pile d’impressions. Ce modèle intègre un module automatique recto-verso qui se charge de la man?”uvre.On aime… le port parallèle

Ce port, qui tend à disparaître, permet de connecter l’imprimante à deux PC sans passer par l’installation d’un réseau domestique. Un petit plus qui peut se révéler bien utile, à condition que les ordinateurs soient également équipés
de cette interface.

On n’aime pas… l’esthétique



Son encombrement est similaire aux autres machines du banc d’essai. Le papier est même rangé dans un tiroir escamotable sous l’imprimante, mais son ‘ caractère monolithique ‘ ne passe pas inaperçu ! Cet
énorme bloc gris et blanc aura bien du mal à se fondre dans le décor.

On n’aime pas… la petite cartouche de démarrage


Compte tenu du prix de l’imprimante, 210 euros, et de celui d’une cartouche de rechange de toner, 77 euros, on peut juger que la cartouche de démarrage avec son autonomie de 1 000 pages est vraiment chiche. Le
constructeur, sans être particulièrement généreux, aurait pu aller jusqu’à 1 500 pages !

Brother HL-2140

On aime… la richesse des fonctions du pilote

Mis à part l’enregistrement des paramètres personnels qui n’est pas pris en charge, le pilote fourni avec la machine est très complet. Il offre la possibilité d’imprimer les pages avec un filigrane ou une image de fond, de créer des
cahiers, d’imprimer plusieurs pages sur une feuille. Il propose également la fonction recto-verso manuelle.

On aime… l’encombrement minimal

Ses dimensions sont dans la moyenne : 36 centimètres de largeur et de longueur pour 17 centimètres de hauteur. Mais c’est grâce à son tiroir à papier qu’elle se range facilement. En effet, le papier est stocké à l’intérieur
de l’imprimante et non dans un bac sur le devant comme sur la plupart de ses concurrentes.

On aime… la cartouche de démarrage conséquente offerte


Avec 1 500 pages pour débuter, et vu le prix de l’imprimante, Brother est le plus généreux des fabricants. D’autant que son modèle est des plus économes. Notre laboratoire a réussi, avec une cartouche prévue pour
2 600 pages, à en imprimer 3 037 sans modification. Voilà une machine qui fait plus que tenir ses promesses.On n’aime pas… le gondolage du papier


Cette imprimante a la fâcheuse tendance de faire gondoler le papier lors de l’impression. Dans le cas d’un document de plusieurs pages, les feuilles s’enroulent en sortie d’impression. Ce qui rend délicate la mise en forme des différents
feuillets. Même reliées, les pages donnent l’impression d’avoir été maltraitées.On naime pas… le réveil difficile


Sans être paresseuse, la machine met tout de même vingt-deux secondes pour sortir du mode veille. Un temps relativement long en comparaison des autres modèles, qui mettent environ sept secondes pour sortir du mode
veille.

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Cyril Valent