Après Nantes, Bordeaux ou Paris, c’est au tour de Lille d’ouvrir les vannes. Les grandes villes françaises, dont les élus étaient opposés au lancement de la 5G, finissent toutes par craquer.
D’après Les Echos, une nouvelle charte de la téléphonie mobile a été signée aujourd’hui entre la mairie et les quatre gros opérateurs qui vont pouvoir activer leurs antennes.
Des contraintes revues à la baisse
Le texte prévoit notamment de maintenir un seuil d’exposition maximal aux ondes de 6 volts par mètre en intérieur. Mais il semblerait que la municipalité ait reculé sur de nombreuses contraintes et notamment l’obligation de collecter 30% des smartphones usagés ou celle de financer des sondes pour réaliser des mesures.
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Cet épisode met fin à de longs mois de tractations entre les opérateurs et la mairie de Lille. Martine Aubry s’était montrée particulièrement impliquée dans le dossier, défendant un moratoire sur la 5G en attendant les conclusions de l’Agence de sécurité sanitaire concernant l’impact de ce standard sur la santé.
Le rapport de l’Anses n’ayant pas mis en évidence de risques nouveaux par rapport à la 4G, cela a probablement permis de débloquer la situation.
Source : Les Echos
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