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iGraal peaufine son look et son modèle

La société sort une troisième version de son système de rémunération des cyber-acheteurs. En un an, le nombre d’inscrits a été multiplié par six.

Plus ergonomique, plus pratique, plus intuitif. La troisième version
d’iGraal ne change rien au mécanisme de base : les internautes touchent une partie des commissions versées à iGraal par
les sites marchands partenaires pour chaque achat réalisé avec ce petit outil. Le service fonctionne toujours comme une extension du navigateur Mozilla et nécessite de surfer avec Firefox. Mais la société a procédé à des ajustements.Des icônes ont été redessinées, d’autres ont été ajoutées. Comme celles indiquant à l’internaute, dans la barre d’outils iGraal, un code promotion (une croix) ou une bonne affaire (un c?”ur) disponible chez un des cybermarchands
partenaires. Un bouton permet aussi de copier-coller ces codes promotion pour pouvoir les utiliser pour une commande chez un e-commerçant. ‘ Avant, ce n’était pas très bien fait ‘, estime le PDG
d’iGraal, Christian Goaziou. Enfin, la barre d’outils iGraal liste les marchands partenaires comme des favoris Internet.

300 000 inscrits

A ses débuts en juillet 2007, iGraal comptait sur une centaine de sites marchands partenaires. Il en revendique aujourd’hui 650. ‘ Les derniers ajoutés à la liste sont Elite Auto et Bayard
Jeunesse ‘,
indique Christian Goaziou. Mais en un an, iGraal a vu arriver d’autres poids lourds, comme la Fnac au printemps 2008, InterSport, Castorama, Leroy Merlin, Nature et Découvertes…Selon le PDG, le nombre d’inscrits au service a été multiplié par six en un an, passant de 50 000 fin 2007 à 300 000 aujourd’hui. Pour l’année qui vient, iGraal vise le marché des mobiles et une extension au
niveau européen.

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Arnaud Devillard