Passer au contenu

Comment les avons-nous testés ?

Les tests de ces neuf PC portables à moins de 10 000 francs, tous équipés d’écrans à matrice active et d’un modem intégré, ont porté pour l’essentiel sur leurs performances bureautiques et ludiques, sans oublier pour autant l’autonomie de la batterie, la taille et le poids de l’appareil.

Qualité de l’affichage

Ce critère déterminant a été testé en deux étapes : d’abord, la qualité de la carte graphique, en particulier pour l’affichage des jeux en 3D, et ensuite la qualité de l’écran lui-même : taille, définition de l’affichage, luminosité, contraste et réglages possibles.

Autonomie

Effectuée à l’aide d’un programme Windows qui simule une utilisation intensive du portable, avec sauvegardes et lectures de CD, la mesure de l’autonomie a été mesurée de façon égale pour tous les portables jusqu’à épuisement de la batterie.

Rapidité

Pour mesurer la vitesse de fonctionnement, plusieurs logiciels sont employés, Word et Excel en particulier. La rapidité d’affichage des jeux en 3D (nombre d’images par seconde) a été testée pour une définition de 640 x 480 en milliers de couleurs.

Confort d’utilisation

Les différents claviers ont fait l’objet d’une étude détaillée : taille des touches, répartition, forme, lisibilité des indications gravées ont notamment été examinées. La qualité et la sensibilité du dispositif de pointage ont elles aussi été testées.

Portabilité

Poids et volume sont des critères primordiaux pour une machine que l’on doit pouvoir emporter avec soi. Chaque portable a été pesé avec sa batterie. Il faut ajouter à ce poids les quelque 400 grammes du transformateur nécessaire à l’alimentation sur secteur.

Possibilités d’extension

Peu évolutifs en interne, les portables dépendent des connecteurs externes pour l’installation de matériels nouveaux. D’où limportance du nombre de connecteurs USB, série, réseau, infrarouge, FireWire, etc. : tous ont été soigneusement répertoriés.

🔴 Pour ne manquer aucune actualité de 01net, suivez-nous sur Google Actualités et WhatsApp.


Jean-Loup Renault