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Boiling Point : Road to Hell

A trop mélanger les genres, cette aventure tourne court. Moralité : jeu bouillu, jeu… touffu !

Une journaliste qui disparaît dans une jungle sud-américaine, ça n’a malheureusement rien d’original… sauf quand son paternel s’appelle Saul Meyers. Car cet ancien de la Légion étrangère française compte bien
tout faire pour retrouver sa progéniture.On l’aura compris, Boiling Point est avant tout un jeu d’action à la première personne. Il emprunte aussi au jeu de rôle (Myers gagne en expérience au fur et à mesure qu’il progresse) et à
l’aventure (il faut bien enquêter pour retrouver la disparue !), même si ces aspects sont souvent peu, parfois mal, exploités.Un jeu ambitieux, donc, qui se démarque surtout grâce à une astuce toute bête : ici, pas de niveaux à traverser, mais une région entière de plus de 600 kilomètres carrés à explorer en continu, sans interruption ni temps de
chargement.Quant à la réalisation technique, dommage qu’elle ne soit pas à la hauteur. Quelques bugs agacent vraiment, et le comportement des personnages que l’on rencontre, qu’ils soient agressifs ou non, a parfois de quoi
faire rire. Plus gênant, un PC très puissant est obligatoire pour éviter les saccades de l’animation.

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Stephan Schreiber