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Antoine Decitre (Tocamak) : ” Beaucoup travaillent en amont, peu poursuivent l’action en aval “

De quoi ont besoin les start-up ? De partenaires générant une valeur ajoutée aux apports classiques des incubateurs. “Beaucoup d’intervenants travaillent en amont, peu poursuivent l’action…

De quoi ont besoin les start-up ? De partenaires générant une valeur ajoutée aux apports classiques des incubateurs.

“Beaucoup d’intervenants travaillent en amont, peu poursuivent l’action en aval”, regrette Antoine Decitre.
Organiser un premier et un second tour de table ne suffit pas. Encore faut-il s’assurer que les start up ont des clients ! D’où le conseil pour la recherche de ceux-ci et de sociétés à racheter. “Un incubateur-accélérateur n’a pas à hésiter. Rien ne s’oppose à ce qu’il aide une jeune pousse à acheter une technologie aux Etats-Unis, y compris en faisant le voyage avec son dirigeant ou son technicien. Pour cela, la structure de l’incubateur doit être suffisamment étoffée. Je préconise que deux personnes s’occupent d’un dossier.” Antoine Decitre estime que les petites structures ne peuvent plus rendre ce service. Au grand dam des start up qui risquent de le payer cher.

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La rédaction