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Une infrastructure qui accélère les temps de réponse

Banque Directe joue sur une infrastructure Web renforcée et un back-office réactualisé en temps réel.

Avec une moyenne de visites de 400 000 clients et de 100 000 prospects par mois, le site de Banque Directe a misé sur la répartition de charge et le clustering. “Le trafic peut atteindre vingt mille connexions par heure en période de pointe”, indique Marc Lanvin, responsable du site et directeur de la clientèle.Les trois frontaux Web fonctionnent en cluster avec répartition de charge. Le chiffrement des connexions SSL, très gourmand en puissance, a été délégué à des boîtiers spécifiques. Des serveurs de cache d’Akamai ont été retenus sur la partie statique du site réservée aux prospects. La ferme de serveurs Web dessert alors un serveur de contenu Vignette. Le tout est relié à une application de CRM développée sous Forte, de Sun Microsystems (iPlanet UDS, désormais), et hébergé sur un mainframe, lui-même connecté au reste du système bancaire.

Un serveur à tout faire

Des composants métiers réutilisables, compilés et exécutés sur le serveur d’applications Forte, alimentent le serveur Web, le serveur Minitel, le serveur vocal, et les écrans des conseillers du centre d’appels, de façon cohérente. Conséquence : lorsqu’un client procède à des transactions en ligne sur son compte, c’est le serveur Forte qui remet à jour le back-office bancaire et réactualise laffichage, avec un très léger décalage. Ainsi, conseillers et clients ont la même vision du compte. “Les transactions bancaires externes sont prises en compte à horaire fixe plusieurs fois par jour”, précise Marc Lanvin.

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Frédéric Gautier