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Un ultracompact pour des photos ultranettes

Bien qu’appartenant à la série des appareils miniatures de Nikon, le S50c est équipé d’un stabilisateur optique.

Comme son prédécesseur le S7c, le nouvel ultracompact de Nikon
bénéficie de caractéristiques techniques impressionnantes au regard de
son petit gabarit. Baptisé S50c, cet appareil reprend les grandes
lignes du S7c, avec une amélioration de taille : l’ajout d’un
stabilisateur optique en remplacement de l’ancien système, de type
électronique. Une nouveauté qui permet de limiter les photos floues
causées par l’éventuel bougé de l’appareil.

Environ 2
cm d’épaisseur pour un poids de 125 g (hors batterie),
un très large écran de 7,6 cm de diagonale, un design
soigné… Le S50c mérite son appartenance à la série S, pour « stylé »,
du constructeur. C’est aussi un appareil équipé d’un capteur de 7,2
millions de pixels, qui dispose d’une excellente sensibilité (jusqu’à
1600 ISO) pour des photos nettes, même en condition de faible
luminosité, et de nombreuses fonctions de correction automatique,
comme la correction des yeux rouges, la priorité visage, pour des
portraits nets, et le D-Lighting, pour limiter les effets de
contre-jour.

Comme son prédécesseur, le S50c est compatible
Wi-Fi. En plus du transfert de ses photos « sans fil » vers l’ordinateur,
il est possible d’envoyer ses images sur un serveur Nikon, puis d’en
avertir ses amis par e-mail pour qu’ils en profitent, et ce, sans qu’un PC soit nécessaire. Zoom 3X, mémoire interne de 13 Mo,
emplacement pour carte SD, molette de navigation pratique pour circuler
dans les menus… le S50c reste véritablement dans la lignée du S7c.
Hormis la couleur, qui passe du noir au gris.

Livré avec une
batterie lithium-ion rechargeable grâce à un adaptateur secteur,
fourni, et avec un câble pour le relier à l’ordinateur en USB 2.0, le
S50c sera disponible à la fin mars au prix de 349 euros. L’équipement
haut de gamme, ça se mérite !

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Stéphanie MOLINIER