Le prix : le Surfstation coûte environ 3 000 F (457 euros). On peut l'acquérir à crédit moyennant près de 100 F (15 euros) par mois pendant trois ans. Par comparaison, les autres terminaux Internet valent entre 2 000 F (305 euros) et 5 000
F (762 euros).
La simplicité d'utilisation : il suffit de connecter le Surfstation à la prise téléphonique puis d'appuyer sur le bouton marche/arrêt pour pouvoir surfer immédiatement sur le Web.
La possibilité d'accéder à presque tous les sites Web : le Surfstation intègre un navigateur standard, Navigator, de Netscape. Grâce aux modules d'extension appropriés, il affiche des vidéos et des animations (avec RealPlayer 7 et Flash 4), et permet d'effectuer des achats par transaction sécurisée (standard SSL).
Un bon navigateur en standard : le Surfstation est livré avec la dernière version de Navigator, de Netscape. Nul besoin, donc, de prendre de nouvelles habitudes pour surfer sur le Web.
:Un véritable clavier sans fil : le Surfstation est livré avec un clavier sans fil à infrarouge, d'une portée de 10 mètres environ. Celui-ci abrite également un trackpad qui fait office de souris. La taille et l'espacement des touches équivalent à ceux d'un clavier d'ordinateur portatif, ce qui est amplement suffisant pour écrire des e-mails ou saisir l'adresse d'un site Web.
Le prestataire d'accès est imposé : si vous louez le Surfstation, il ne vous laisse pas choisir votre fournisseur d'accès. Il compose automatiquement le numéro de téléphone de Net-Up ! Et vous n'avez pas la possibilité de changer si vous n'êtes pas satisfait du débit, des services, des tarifs téléphoniques de votre prestataire.
L'absence de messagerie locale : le Surfstation ne disposant pas de disque dur, vous ne pourrez pas y stocker de messages. Bien sûr, il est possible de s'abonner à un service en ligne d'e-mail, de type Yahoo! ou Hotmail. Mais cela oblige à se connecter dès que l'on veut relire ses messages.
Le haut débit fait défaut : la connexion via l'ADSL ou le câble n'est pas à l'ordre du jour.
Les pages Web n'apparaissent pas dans leur totalité : la résolution maximale offerte par un téléviseur est inférieure à celle d'un moniteur. Pour cette raison, les documents Web n'apparaissent jamais en pleine page sur le Surfstation. Résultat : on ne peut saisir d'un seul coup d'?"il l'ensemble des informations et des liens proposés par une page Web, et il faut jongler en permanence avec les barres de défilement pour y accéder.
Un affichage très moyen : pour la consultation des documents, un téléviseur n'offre pas une bonne qualité d'affichage, avec une définition de 640 x 480 points, contre 1024 x 768 points pour un moniteur standard. La définition des caractères et des images apparaît ainsi de manière plus grossière sur l'écran d'un téléviseur. Pas question, donc, de lire longtemps à l'écran.
Une connectique insuffisante : le panneau arrière du Surfstation permet de brancher sur cet appareil un moniteur et une imprimante. En théorie seulement car, l'appareil fonctionnant sous Linux, seuls certains modèles de ces périphériques sont compatibles, faute de pilotes adéquats. Ainsi, les deux prises USB présentes sont aujourd'hui inutiles, sachant qu'il n'existe pas encore de pilotes de périphériques USB pour ce système d'exploitation. Veillez donc au choix de votre imprimante.