Passer au contenu

Samsung RV511 : un portable robuste au-dehors comme au-dedans

Un processeur Intel Core i5, un écran haute définition, ce RV511 à moins de 550 euros propose une configuration équilibrée.

Pour les vrais aventuriers évoluant en milieu hostile, il ya les toughbooks autrement dit les portables renforcés. Pour les vraies gens, ceux qui vivent la vie de tous les jours, il y a ce PC portable Samsung. Il devrait convenir sans peser trop fort sur les épaules lors des déplacements. Samsung met en avant une construction de type « Duracase ». Derrière le jargon marketing, cela signifie que ce portable est censé résister, dans la mesure du raisonnable aux griffures et chocs auxquels sa portabilité peut l’exposer.

Il carbure au Core i5

Le RV511 est bâti autour d’un processeur Intel Core i5-480M secondé par 4 Go de mémoire vive de type DDR3. De manière plus prosaïque, cela signifie que ce PC dispose d’une bonne réserve de puissance pour accomplir avec célérité toutes les tâches usuelles : multimédias avancées, bureautique bien sûr et même, à condition de laisser tomber les derniers titres trop exigeants, profiter des jeux vidéo 3D grâce à la carte graphique Nvidia GeForce GT 315M. Il faut dire que la résolution de 1 366 x 768 pixels de l’écran permet de soulager la puce 3D qui n’aura pas à fournir le même travail que pour une dalle de définition supérieure.

Quelques regrets

Au chapitre des reproches éventuellement formulés à l’encontre de cette configuration, on trouve diverses choses. Tout d’abord l’absence de connecteurs de type USB 3.0 ou e-Sata. Les transferts avec les supports de stockage externes ne vont pas s’en trouver facilités. On note également l’absence de prise réseau gigabit pour accélérer les connexions en Ethernet. La webcam dotée d’une résolution de 0,3 mégapixel paraît également un peu chiche. Quoisqu’il en soit, ces petits défauts n’ont toutefois rien de rédhibitoire, surtout pour un prix conseillé de 549 euros.

🔴 Pour ne manquer aucune actualité de 01net, suivez-nous sur Google Actualités et WhatsApp.


David NAMIAS