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Pour Zeturf, le monopole du PMU vacille

Le directeur général du site ZeTurf et le secrétaire général du PMU, livrent leur analyse après la décision de la Cour de cassation de renvoyer l’affaire en appel.

Mardi 10 juillet, la Cour de cassation
a annulé la condamnation du site Internet Zeturf, qui remonte à juillet 2005. Ce site de paris hippiques,
installé à Malte, avait été poursuivi en référé par le PMU et condamné à ne plus exercer son activité auprès des internautes français. Le site ne s’était pas exécuté et avait fait appel, mais la sanction avait été confirmée en janvier 2006. La
Cour de cassation a décidé de renvoyer tout le dossier devant une cour d’appel.Emmanuel de Rohan-Chabot directeur général de ZeTurf, et Pierre Pagès, secrétaire général du PMU, livrent tous deux leurs analyses de cet arrêt. Pour Zeturf, qui clame sa légalité, c’est le monopole étatique sur les jeux qui est remis
en cause par la justice française elle-même. Pour le PMU, rien ne change : à ses yeux, Zeturf n’a pas le droit de proposer aux internautes français de parier sur les courses de chevaux.

L’interview d’Emmanuel de Rohan-Chabot, directeur général de Zeturf

Emmanuel de Rohan-Chabot et Pierre Pagès ont été interviewés jeudi 12 juillet sur les ondes de
BFM (1), dans l’émission Good morning Business.(1) BFM est une filiale de NextRadio TV, société propriétaire de 01net.

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La rédaction