Overdose de SMS surtaxés pour le CSA
Trop, c'est trop. Le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) réagit enfin à la multiplication des publicités TV pour des services de SMS surtaxés, qui profitent clairement de la naïveté des mineurs : soi-disant calcul de
l'affinité entre deux personnes grâce à leur prénom, probabilité de devenir riche, nom de son prochain petit ami, etc.
Le CSA rappelle que la loi interdit à la publicité d'' inciter directement les mineurs à l'achat d'un produit ou d'un service en exploitant leur inexpérience ou leur crédulité '. Il demande donc aux chaînes de télévision de ne plus diffuser ce type de spot. Le CSA nen oublie pas pour autant les autres services surtaxés (téléphone ou SMS) : le conseil réclame plus de clarté quant aux tarifs indiqués dans les publicités, qui sont généralement imprécis.
Le CSA rappelle que la loi interdit à la publicité d'' inciter directement les mineurs à l'achat d'un produit ou d'un service en exploitant leur inexpérience ou leur crédulité '. Il demande donc aux chaînes de télévision de ne plus diffuser ce type de spot. Le CSA nen oublie pas pour autant les autres services surtaxés (téléphone ou SMS) : le conseil réclame plus de clarté quant aux tarifs indiqués dans les publicités, qui sont généralement imprécis.