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Les périphériques de commutation KVM

Le KVM permet de contrôler des fermes de serveurs depuis un seul poste de travail.

L’abréviation KVM n’évoque, bien souvent, pas grand-chose à l’informaticien moyen. Elle est pourtant très simple, issue de l’anglais keyboard (clavier), video (écran vidéo) et mouse (souris). Elle s’applique à des périphériques de commutation permettant de prendre la main sur plusieurs ordinateurs depuis un unique poste de travail. Et cela en général localement ?” c’est-à-dire via le LAN ?”, mais aussi à distance, essentiellement grâce à internet. Au format tiroir, les commutateurs KVM trouvent naturellement leur place dans des racks de serveurs, limitant, de fait, la multiplication des consoles de commandes. Au-delà de l’intérêt qu’ils présentent en termes de simplification de l’administration des machines, ils sont aussi, pour toute entreprise, un moyen de réaliser des économies. Ils permettent, en effet, de gérer un maximum de machines dans un minimum d’espace. De plus, ils limitent la consommation d’énergie et les dégagements calorifiques. A l’heure où le mot d’ordre est la réduction des coûts, que demander de plus ?

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Jean-Marie Portal