La fibre enlisée
Imprimer les fonds de pages
Et les autres…
27 octobre 2011 à 00:00
Logitech – Anywhere MX On aime… la molette débrayableAutre excellente exclusivité de Logitech : sa molette physique débrayable. Elle fonctionne avec un mode cranté pour un défilement…
Logitech – Anywhere MX On aime… la molette débrayable
Autre excellente exclusivité de Logitech : sa molette physique débrayable. Elle fonctionne avec un mode cranté pour un défilement lent, très précis. Une position en roue libre permet de faire défiler une longue page à toute vitesse. Elle est beaucoup plus efficace et agréable à l’usage que les molettes tactiles de Microsoft ou d’Apple. Comme sur la Performance MX, la molette gère le défilement vertical et horizontal.
On aime… l’excellent confort de glisse
Comme la luxueuse Performance MX, l’Anywhere MX bénéficie du très bon capteur Darkfield, le seul du marché à bien fonctionner sur les matériaux transparents (miroirs exceptés). L’Anywhere MX est dotée également de larges patins pour bien glisser sur toutes les surfaces. Comme la Performance MX, l’Anywhere MX n’est toutefois pas prévue pour le jeu intensif.
Microsoft – Touch Mouse On aime… les commandes tactiles
La surface tactile est l’argument principal de cette souris conçue pour fonctionner avec Windows 7. Cette zone sensitive permet d’utiliser jusqu’à trois doigts pour réaliser différentes actions de balayage, défilement horizontal et vertical, gestion des fenêtres et du bureau… Tout un programme ! Prévoyez du temps pour vous familiariser avec ces fonctions, un peu déroutantes au départ.
On n’aime pas… la mauvaise glisse
Les patins sont identiques à ceux de l’Explorer Touch Mouse, mais la capacité à glisser est moins bonne. La lourdeur de la Touch Mouse est assurément en cause. Mais d’une manière générale, les patins très fins ne favorisent pas le déplacement fluide de la souris.
NGS – Raza On aime… la finition soignée
Telles les Ferrari et autres Alfa, la Razza de NGS porte la griffe du designer italien Pininfarina. Avec son petit capteur laser 800 ppp, la souris nous plaît pour sa coque bien ajustée, son excellente glisse et sa solide molette en aluminium. Bon point aussi pour la housse de protection et l’alimentation électrique par une seule pile AA.
Razer – Mamba 2012 On aime… le double capteur optique et laser optique
Conçue pour les accros du jeu vidéo, la Razer suit les mouvements les plus brutaux grâce à un double capteur unique dans le monde des souris. Le capteur laser apporte la précision (6 400 ppp !) tandis que l’optique permet de soulever légèrement la souris sans que cette dernière ne décroche.
On aime… et on n’aime pas… la station d’accueil
La station d’accueil de la Mamba présente un double intérêt. D’une part, elle sert de base pour poser élégamment sa souris tout en la rechargeant. D’autre part, elle intègre le récepteur radio pour une utilisation sans fil de la souris. Cette dernière peut aussi fonctionner en mode filaire grâce au câble USB fourni.
Cherry – ZF 5000 On aime… les boutons programmables
Les souris haut de gamme bénéficient en général de boutons programmables. En revanche, les modèles à 35 euros offrant cette possibilité, telle la ZF 5000, sont plus rares.
On n’aime pas… la finition étrange
Grand spécialiste des claviers, Cherry nous surprend agréablement avec cette souris sans fil au design audacieux, vaguement inspiré des modèles pour joueurs. Mais la finition est assez étrange : une partie de la coque supérieure se détache un peu trop facilement. De l’aveu même de Cherry, il était plus simple d’opter pour une pièce mobile que pour une coque d’une seule pièce. Et pas question de remplacer la coque d’origine par une pièce d’une autre couleur.
Apple – Magic Mouse On aime… le design
Première souris à intégrer des commandes tactiles, la Magic Mouse séduit d’abord ? et surtout ? par son look soigné et sa finition luxueuse. On aime le design épuré, le dessous en alu anodisé et même… le bouton de mise sous tension. Côté pratique, en revanche, la ligne extra-basse de la souris ne convient pas à toutes les mains, et la glisse n’est pas fluide.
On n’aime pas… l’utilisation malaisée avec Windows
Non prévue pour Windows, il faut utiliser les drivers du logiciel de multiboot Bootcamp pour faire fonctionner cette souris, conçue pour les Mac. La souris ne conserve alors que les fonctions de base.
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David Namias et Patrick Bertholet
