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Équipement : Compaq a doté la plupart des génopôles français de superserveurs allant jusqu’à 24 Go de mémoire vive

Grâce à la performance des serveurs, les chercheurs du monde entier accéderont bientôt à l’Institut français de génétique et de biologie moléculaire et cellulaire.Deux cents entreprises,…

Grâce à la performance des serveurs, les chercheurs du monde entier accéderont bientôt à l’Institut français de génétique et de biologie moléculaire et cellulaire.Deux cents entreprises, environ, dont un grand nombre de start up, réparties à Evry, Strasbourg, Lille, Lyon-Grenoble, Aix-Marseille, Montpellier et Toulouse se partagent le secteur des biotechnologies en France. Des pôles en cours de sélection (Rennes-Nantes et Clermont-Ferrand) ou de constitution (Bordeaux) s’ajoutent à ces sept génopôles. Ceux-ci travaillent en collaboration avec différents centres comme l’ Institut Pasteur et les laboratoires de la Montagne-Sainte-Geneviève à Paris, ou l’ Inria.Compaq a équipé les génopôles d’Evry (deux serveurs GS140), de Lille (un GS140), Strasbourg (six ES40) et de Lyon-Grenoble (deux ES40). A Evry, le Genoscope (Centre national de séquençage) est doté de quatre Alphaserver 8200 en grappes, munis de quatre processeurs avec chacun 4 Go de mémoire vive. Le stockage est effectué sur deux armoires Storageworks, toujours de Compaq, totalisant 3 To. A Strasbourg, l’Institut de génétique et de biologie moléculaire et cellulaire ( IGBMC) possède un serveur de calcul intensif basé sur un cluster de six Alphaserver ES40 équipés chacun de quatre processeurs Alpha EV67 cadencés à 667 MHz et dotés d’une mémoire vive de 1 Go, soit 24 Go au total. Ce serveur sert à traiter les calculs de séquençage du génome et à héberger des bases de données développées par le laboratoire. Il constitue une passerelle vers les nombreuses bases externes ouvertes aux six cents chercheurs de l’Institut. A terme, les biologistes et bio-informaticiens du monde entier pourront accéder aux banques de données de l’IGBMC.

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Claire Rémy