Passer au contenu

Danew MPD 20 : design original, mais image décevante

A première vue, avec son look de galet en plastique finition glossy, l’appareil de Danew s’avère plutôt sympathique. Il faut faire coulisser son capot pour dévoiler…

A première vue, avec son look de galet en plastique finition glossy, l’appareil de Danew s’avère plutôt sympathique. Il faut faire coulisser son capot pour dévoiler le dispositif de projection, un système plutôt astucieux qui permet de garder la lentille propre. Le panneau de commande situé sur le capot du MPD 20 manque de réactivité. Les touches sensitives ne répondent pas assez vite et on déplore un problème de latence au niveau des menus. La connectique est assez limitée, on trouve une entrée S-Video composite et un port USB. Pas de VGA, mais un petit utilitaire fourni qui permet de faire transiter le signal vidéo d’un PC via son port USB tout en alimentant l’appareil (deux connecteurs seront nécessaires !).

Sa qualité d’affichage est en retrait

Seul pico de notre sélection à utiliser une technologie LCOS, le MPD 20 affiche des images d’une qualité en retrait par rapport à la concurrence. La résolution n’est pas bonne, le ratio de l’image limité au format 4:3 et surtout, la luminosité et le contraste sont aux abonnés absents. L’image est terne et, en vidéo, même dans le noir total, il est difficile de distinguer des détails dans les zones sombres.

Le MPD 20 s’en sort par contre bien question autonomie avec 1 h 40 min en vidéo et décode les formats les plus courants (Mpeg4, XviD, Jpeg…). Certes pas autant que le H03, mais nettement plus que les modèles d’Optoma. Pour le reste, il faut passer par un petit logiciel de conversion, bien entendu livré.

🔴 Pour ne manquer aucune actualité de 01net, suivez-nous sur Google Actualités et WhatsApp.


Sébastien Casters