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Ce que la rédaction (n’)a (pas) aimé…

Ce qui ressort des tests menés par la rédaction pour chaque boîtier.

ADS Tech DVD Xpress DX2

On aime… le logiciel supplémentaire DivX Player


C’est suffisamment rare pour être souligné. En plus des logiciels d’acquisition et de montage vidéo et d’authoring, ADS Tech fournit son boîtier avec un autre logiciel, DivX Player, destiné à lire les DivX. Il est certes
téléchargeable gratuitement, mais vous n’aurez même pas à faire cet effort !On aime… le taux d’occupation réduit du processeur


C’est le boîtier qui sollicite le moins l’ordinateur lors du processus d’acquisition vidéo : sa puce interne joue donc pleinement son rôle ! Lors de la compression de séquences vidéo au format Mpeg1, seulement
12,74 % de la puissance maximale du processeur est utilisé. Si l’on opte pour un format de compression de meilleure qualité, le Mpeg2, c’est 23,54 % des ressources qui est utilisé. Une belle performance ! Même avec sa puce intégrée,
le boîtier de Plextor ne fait pas aussi bien.On aime… la puce interne


Deux catégories de boîtiers d’acquisition cohabitent. La première laisse au logiciel et au processeur du micro le soin de compresser les vidéos. Dans ce cas, mieux vaut disposer d’un PC suffisamment musclé pour ne pas compromettre
la qualité des vidéos. La deuxième catégorie de boîtiers, dans laquelle se classe le DVD Xpress DX2, assure elle-même cette lourde tâche de compression grâce à une puce interne. Cette dernière convertit en temps réel les vidéos analogiques en
numérique au format MPeg1, Mpeg2 ou Mpeg4 (et donc DivX). Ainsi, même avec un ordinateur de puissance moyenne, on peut faire de l’acquisition vidéo depuis des sources analogiques.

On n’aime pas… la mauvaise qualité d’acquisition avec une vidéo présentant des difficultés


Si ce boîtier offre une bonne qualité de numérisation sur des vidéos courantes, il résiste mal aux difficultés des films les plus exigeants. La numérisation, en Mpeg2, de séquences comportant des images ardues se révèle décevante.
Les subtils mouvements de l’herbe exposée au vent se sont transformés en un enchaînement d’images saccadées et floues. Notre jury lui a attribué une note de 3,3.

Avermedia EZMaker USB2.0

On aime… la compacité


D’une longueur de 9,5 cm pour 5 cm de large et 1,7 cm d’épaisseur, le EZMaker est le champion de la compacité. Et son poids, 105 grammes, le fait entrer dans la catégorie
‘ plume ‘. Il est donc le compagnon idéal des utilisateurs d’ordinateurs portables.

On aime… le prix


Les prix des boîtiers retenus dans ce banc d’essai comparatif sont disparates, et peuvent sembler excessifs pour ceux qui n’ont que quelques vidéos à numériser. Heureusement, il est possible de se lancer dans l’acquisition vidéo
avec un budget modique. Il suffit d’opter pour le modèle EZMaker d’Avermedia, vendu moins de 56 euros.On n’aime pas… l’absence du format Mpeg4


Le Mpeg4 est un format qui offre un bon équilibre entre qualité d’image et taux de compression. Mais les utilisateurs de ce boîtier ne pourront pas bénéficier de ses atouts. Le boîtier se contente d’enregistrer les vidéos aux
formats Mpeg1 et Mpeg2 et DV…, le Mpeg4 et le DivX étant totalement absents de sa panoplie. Une lacune qu’il partage avec le boîtier VideoXpress d’ADS Tech.On n’aime pas… le câble USB fixe et trop court


Le câble USB de ce boîtier cumule tous les inconvénients. Si votre unité centrale est disposée sur le sol et que ses ports USB sont à l’arrière, vous vous contenterez difficilement de ses 65 cm de longueur ! De plus, le
câble étant fixé au boîtier, il ne peut être changé pour un plus long. La seule solution consiste à… acheter une rallonge !

Terratec Grabster AV250

On aime… les câbles livrés


Les acheteurs du Grabster AV250 auront la bonne surprise de trouver le boîtier accompagné d’un câble S-Video, d’un câble RCA audio-vidéo, ainsi que d’un adaptateur entrée-sortie Scart vers RCA audio-vidéo. Ce dernier servira à
brancher le boîtier sur un téléviseur ou un magnétoscope dépourvu d’une sortie S-Video ou Composite.

On n’aime pas… le taux d’occupation du processeur


Mieux vaut disposer d’un PC surpuissant avec ce boîtier : il est en effet vorace en ressource matérielle. La numérisation d’un film au format Mpeg1 monopolise près de 40 % des ressources du processeur de notre plate-forme
de test. Quant à l’encodage en Mpeg2, c’est près de 80 % qu’il occupe. Rappelons que notre laboratoire utilisait pourtant un Pentium 4 à 2,8 GHz.

Dazzle Movie Compressor 2006

On n’aime pas… la documentation très succincte


Pour apprendre à tirer le meilleur parti de ce boîtier, les utilisateurs n’ont à leur disposition qu’une documentation succincte. Ni livret papier, ni CD avec une documentation numérique, ne sont livrés. Seul un poster
d’installation schématique et en plusieurs langues est fourni.On n’aime pas… le Mpeg2 payant


Sur ce modèle de Dazzle, le Mpeg est en option. Il faut en effet payer un petit extra de 5 euros pour télécharger le codec sur le site du constructeur et débloquer cette option dans les logiciels livrés !

Plextor ConvertX PX-M402U

On n’aime pas… l’encombrement


Difficile d’ignorer sa présence : mesurant 18,4 cm de long, pour 32,4 cm de large et 1,55 cm d’épaisseur, ce modèle fait figure de mastodonte au milieu de ses concurrents. Malgré ces dimensions encombrantes, ses
concepteurs ont en plus jugé nécessaire d’ajouter une alimentation externe !

Pinnacle Studio 500 USB Version 10

On aime et on n’aime pas… le logiciel d’acquisition et de montage


Pour capturer leurs vidéos, découper et assembler les séquences, ajouter quelques effets, et enfin, graver le tout sur un DVD, les utilisateurs de ce boîtier ont à leur disposition le logiciel Studio 10 de Pinnacle. Attention
toutefois, ce logiciel est assez gourmand en ressources et parfois instable. Une configuration musclée est donc vivement recommandée, de même que le téléchargement des toutes dernières mises à jour.On aime… la connectique très complète


L’ensemble des boîtiers testés dispose de deux prises RCA dédiées au son et de deux prises pour la vidéo (une RCA composite et une S-Video). Mais, en plus de ses entrées analogiques, le Studio 500 USB de Pinnacle dispose d’une
prise FireWire destinée à l’acquisition numérique. Le câble FireWire nécessaire pour connecter le caméscope DV est même fourni.

On aime… la qualité de la documentation


Pour apprendre à maîtriser Studio 10, le logiciel d’acquisition et de montage fourni avec le boîtier, les utilisateurs peuvent se référer au livret de 300 pages inclus dans le pack. Ils disposent aussi d’un guide de
démarrage rapide qui recense les principaux points de l’acquisition et les grandes lignes du logiciel. Enfin, un feuillet explique la manière de brancher le Studio 500 USB version 10.

ADS Tech VideoXpress

On n’aime pas… la mauvaise qualité d’acquisition


C’est sans conteste le modèle qui a montré le plus de faiblesses sur les tests d’acquisition vidéo. Que les séquences vidéo aient ou non présenté des difficultés, les images obtenues étaient saccadées.Le jury lui a donc décerné la mention Passable sur les tests dune séquence standard, et Recalé sur les tests concernant une séquence difficile.

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Coralie Cathelinais