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Business en bref

Banque en ligne : la Cnil demande des comptes aux internautes – Google lorgne vers la photo numérique – L’ADSL japonais passe à 50 méga…

Banque en ligne : la Cnil demande des comptes aux internautes

La Commission nationale de l’informatique et des libertés réalise une grande étude sur le secteur de la banque en ligne. Elle propose à ce titre aux internautes de répondre à un sondage en ligne. L’objectif de ces travaux est de
vérifier les conditions dans lesquelles sont appliquées les dispositions de la loi Informatique et Libertés du 6 janvier 1978, par exemple celles relatives à la collecte de données. Les résultats devraient permettre d’établir un code de bonnes
pratiques à destination des professionnels et des consommateurs.

Google lorgne vers la photo numérique

Le moteur de recherche, dont la cotation au Nasdaq se rapproche à grands pas, vient de réaliser une acquisition dans le domaine de la gestion de photos numériques sur Internet. Google rachète Picasa, une start-up de Pasadena
(Californie), fondée en octobre 2001. Un partenariat technologique existait déjà entre les deux sociétés. Il visait à améliorer certaines fonctionnalités (intégration et gestion de photos en ligne) du service d’édition de blogs de Google
Blogger.com.

L’ADSL japonais passe à 50 méga

Softbank et Yahoo! Japon viennent de donner un coup de pouce à leurs forfaits haut-débit. Ils proposeront désormais à certains de leurs abonnés à l’ADSL, un accès à 50 Mbit/s en réception et 3 Mbit/s en émission. Le tout pour
4 122 yens par mois, soit un peu plus de trente euros. Le cap des 50 Mbit/s ne devrait toutefois représenter qu’une modeste progression pour certains abonnés, à qui Yahoo! Japon propose déjà un accès à 45 Mbit/s.

EDS sent le ‘ pourri ‘

Moody’s vient de diminuer son évaluation de la solidité de la dette de la société de services informatiques, la faisant passer de Baa3 à Ba1. Aux yeux de l’agence de notation financière, les titres EDS sont donc dorénavant à ranger dans
la catégorie junk bonds, littéralement obligations pourries, pour cause de dette surélevée. A quoi la société américaine a répliqué que sa dette est entièrement sous contrôle. Le passage au statut de junk
bonds
risque toutefois de compliquer la stabilité financière dEDS.

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La rédaction