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SMSI : le futur fonds de solidarité numérique accueille ses premiers cotisants - Noos demande un accès ADSL à France Télécom - Les câblo-opérateurs en appellent au Premier ministre - ...
SMSI : le futur fonds de solidarité numérique accueille ses premiers cotisants
S'il n'est pas encore créé, le fonds de solidarité numérique enregistre déjà ses premières contributions. La Ville de Genève et la République du Sénégal ont annoncé leur intention de verser chacune 330 000 euros à cette future structure destinée à réduire la fracture numérique entre pays du Nord et du Sud. La Ville de Lyon ?" qui avait organisé les 4 et 5 décembre derniers le Sommet mondial des pouvoirs locaux de la société de l'Information ?" a pour sa part décidé de contribuer à hauteur de 300 000 euros.Noos demande un accès ADSL à France Télécom
Noos rencontrera France Télécom la semaine prochaine. L'objet de cet entretien ? L'accès ADSL. Face à l'arrivée de la télévision sur ADSL, Noos a demandé a France Télécom ' l'accès à ses tuyaux '. ' Noos pourrait ainsi diffuser son contenu dans des régions qui ne sont pas couvertes par notre réseau câblé ', a expliqué un porte-parole du câblo-opérateur. France Télécom détient toujours 27 % du capital de Noos.Les câblo-opérateurs en appellent au Premier ministre
L'association française des opérateurs de réseaux multiservices (Aform) a écrit à Jean-Pierre Raffarin au sujet des directives européennes sur les communications électroniques. ' Le retard pris dans le processus de transposition maintient le câble dans un régime juridique discriminant et risque de décourager la relance des investissements. Le câble ne peut rester indéfiniment dans l'expectative : il est urgent d'instaurer des règles du jeu équitables ', lui ont-ils signifié. Les directives créeront un régime juridique unique pour l'établissement et l'exploitation de tous les réseaux.Pour les câblo-opérateurs, le Gouvernement doit transposer ces directives européennes au plus vite, en recourant aux ordonnances (ce qui est prévu au cours de l'année 2004). ' L'encombrement du calendrier parlementaire risque encore de retarder le processus de plusieurs mois. Au-delà, on peut craindre que la dispersion de la transposition dans plusieurs textes législatifs nuise à la clarté et à l'efficacité des textes, ainsi qu'à la rapidité de leur mise en oeuvre. '