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Beyond Divinity

Le scénario de ce jeu est prenant et l’interface facile à maîtriser. Mais le graphisme date un peu.

Parce qu’il privilégie nettement les combats par rapport à l’aventure, Beyond Divinity
 ?” la suite de Divine Divinity, sortie en 2002 ?” s’apparente à un véritable
clone de Diablo 2. Tout ici est fait pour nous rappeler le hit de Blizzard, jusqu’à l’aspect visuel… Lequel, du coup, commence tout de même à dater un peu, même s’il n’est pas dénué de charme.Heureusement, le scénario prenant et l’interface facile à maîtriser participent grandement à l’intérêt d’un jeu qui, bien que reprenant des concepts déjà éprouvés et n’offrant que peu de nouveautés par rapport à son
prédécesseur, parvient tout de même à nous captiver. On n’en demande pas plus

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Stephan Schreiber