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Test n° 3 : un seul vainqueur

Kaspersky Internet Security (KIS) 2010 est la seule suite à nous avoir rendu une machine véritablement propre et opérationnelle ! Le logiciel a été installé sans souci…

Kaspersky Internet Security (KIS) 2010 est la seule suite à nous avoir rendu une machine véritablement propre et opérationnelle !
Le logiciel a été installé sans souci sur cette machine bien malade. Pourtant, on a un instant cru le pire. Car KIS a un fonctionnement particulier, qui classe les applications selon leur dangerosité potentielle et leur interdit certains usages des systèmes. Pour accélérer les choses, le logiciel « préclasse » certains programmes présents sur le disque lors de l’installation. Il a donc automatiquement classé certaines des tâches en cours d’exécution comme douteuses, bloquant ainsi leur comportement malveillant. Mais l’une d’elles a été classée en « application de confiance » alors qu’elle n’aurait pas dû l’être !!! Toutefois, cela n’empêchera pas KIS de repérer la menace et de l’éradiquer après mise à jour des bases, comme nous allons le voir.

Un nettoyage efficace et presque parfait…

Juste après l’installation, nous avons lancé une première analyse complète de la machine en laissant le logiciel redémarrer à sa demande dès qu’il a repéré certaines menaces nécessitant, selon ses termes, un « traitement spécifique ». Après ce premier redémarrage, certaines menaces étaient toujours présentes (ce qui est logique, l’analyse ayant été interrompue en cours de route), mais Kaspersky avait déjà suffisamment nettoyé la machine pour récupérer une connexion Internet et ainsi se mettre à jour. Après cette dernière, nous lui avons tout naturellement redemandé une analyse complète. Le logiciel a alors terminé son travail en repérant et en nettoyant les dernières menaces présentes. Il a redémarré une dernière fois le PC pour nous offrir une machine nettoyée et opérationnelle.

Il répare même les dégâts causés par les malwares !

Un réparateur doué
Un réparateur doué – Un réparateur doué

Mieux encore, grâce à sa fonction d’analyse des vulnérabilités, Kaspersky a repéré et corrigé les dysfonctionnements du panneau de configuration et du gestionnaire des tâches. Il a également nettoyé le fichier Hosts ainsi que les listes de sites de confiance que les malwares avaient automatiquement intégrés à Internet Explorer. À ce stade, nous avions donc bien récupéré automatiquement une machine totalement opérationnelle et visiblement nettoyée. Après une analyse approfondie, nous avons découvert qu’il demeurait quelques traces non actives (deux DLL, quelques éléments bénins en bases de registres). Rien de bien méchant. Le plus surprenant ? Kaspersky n’a eu besoin ni du mode sans échec, ni de son CD de réparation pour se tirer d’affaire.

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Loïc Duval