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Test PC7 Comète LDLC : des performances et du jeu dans 36 000 cm3

Ce PC de bureau pour joueurs assemblé par LDLC nous a fait très bonne impression. Peu encombrant pour un PC de bureau, le Comète offre de très bonnes performances dans tous les domaines, avec une prédilection pour le jeu.

L'avis de 01net.com

LDLC PC7 Comète

Equipement

2.5 / 5

Appréciation générale

5 / 5

Note de la rédaction

Note publiée le 21/09/2012

Voir le verdict

Fiche technique

LDLC PC7 Comète

Processeur Intel Core i5-3570K
Quantité de mémoire vive 8 Go
Type de stockage principal SSD
Calcul de la capacité totale (en Go) 2128
Processeur graphique Nvidia GeForce GTX 670
Voir la fiche complète

LDLC PC7 Comète : la promesse

Le magasin LDLC commercialise des PC assemblés par ses soins sous sa propre marque. Outre les références proposées dans des boîtiers moyen et grand tour, on trouve aussi des configurations à taille réduite comme le PC7 Comète. Ne vous fiez pas à son petit boîtier BitFenix Prodigy tout blanc, tout mignon, car à l’intérieur LDLC a réussi à faire rentrer – sans forcer – une véritable machine de jeu. Petit et costaud ? Passons aux tests.

LDLC PC7 Comète : la réalité

Le PC7 Comète de LDLC est un vrai PC pour joueurs. Il embarque un bon panel de composants puissants, contenus dans un boîtier assez atypique. Petit par la taille (format mini-ITX), il ne pèse pas trop lourd (11 kg) et peut facilement venir prendre place sur ou sous le bureau.
Aux extrémités des parties inférieures et supérieures de la machine, on trouve deux poignées en plastique blanc, un peu molles. C’est sans doute le seul vrai défaut du boîtier BitFenix Prodigy. Dommage que les poignées inférieures, sur lesquelles repose l’intégralité de la machine, ne soient pas plus rigides pour une meilleure stabilité de la bête.
Après un rapide tour du propriétaire, on découvre des aérations sur le côté et sur le dessus (avec filtre à air lavable), le lecteur Blu-ray en façade et – surtout – tous les connecteurs de la carte mère et du boîtier. On dénombre six USB 3.0 (deux sur le côté, quatre à l’arrière), quatre USB 2, deux eSata, quatre sorties vidéo (deux DVI, un DisplayPort, un HDMI) sur la carte graphique et trois sur la carte mère (DVI, DisplayPort et HDMI), des entrées/sorties audio analogiques stéréo (côté et arrière) et numériques (S/PDIF). Pour les connexions au réseau, il y a une prise Gigabit, deux antennes Wi-Fi et du Bluetooth 4.0 pour les échanges sans fil.

Un V8 dans une carrosserie de Twingo

Bien montée, la configuration se construit autour d’une carte mère Asus P8Z77-I au format mini-ITX sur laquelle sont montés un processeur Intel quatre cœurs puissant de dernière génération (Core i5-3570K) -refroidi par un système refroidissement très performant Noctua NH-U12P- et 8 Go de mémoire DDR3.
Le stockage des données est assuré par un gros disque véloce de 2 To (Seagate Barracuda 7200.14) et Windows 7 Edition Familiale Premium, quant à lui, est installé sur un SSD Samsung Serie 830 de 128 Go. Tous deux fonctionnent en Sata 3 et cela se ressent grandement à l’usage (indice maximal de 7,9 sur l’échelle Windows 7). La machine démarre très rapidement et les copies de fichiers et installations de jeux vidéo se font en un temps raisonnable (Score disque dur PC Mark Vantage : 51 1153 points pour le système contre 5000 pour une machine avec disque dur normal).
Pour les jeux, LDLC fait rentrer une GeForce GTX 670 (de marque Zotac) dans le boîtier. Elle est livrée ici avec trois jeux de la série Assassin’s Creed. Toutefois, suivant les stocks de LDLC, la carte risque de ne pas toujours être une Zotac et donc, les jeux risquent de ne pas être présents systématiquement. C’est toutefois un plus non négligeable.

Avec nos différents jeux vidéo de test (Dirt 2, Dirt 3, Resident Evil 5 ou encore Crysis), les scores sont compris entre 90 et 185 images par seconde en définition Full HD (1 920 pixels par 1 080 pixels). De quoi jouer à tous les hits du moment (Guild Wars 2, Borderlands 2) et à venir (Call of Duty : Black Ops 2, WoW : Mist of Pandaria), tous les détails au maximum. Cependant, en jeu comme au repos, le ronronnement des cinq ventilateurs du boîtier (surtout celui de la GeForce GTX 670) se fait légèrement entendre : nous avons relevé 36,2 dB au repos et presque 40 dB en charge. Reste qu’une machine pour joueur de ce format et parfaitement silencieuse, ça ne court pas les rues !

Une alimentation prête pour les évolutions

Pour alimenter le Comète, LDLC fait appel à un bloc de 630W pour permettre des évolutionsdu matériel. En l’état, la machine consomme un peu plus de 300 watts (contre 58 watts, au repos, sur le Bureau de Windows 7) lorsque vous stressez les composants. Si vous souhaitez changer le processeur ou placer une carte graphique encore plus puissante dans la machine, l’alimentation présente encaissera parfaitement la charge.
Le boîtier BitFenix est toutefois déjà bien rempli. L’ajout d’un disque dur ne s’envisage qu’à la condition de monter une carte graphique moins longue et de replacer le logement amovible pour trois disques durs fourni dans le carton du PC. Grâce à lui, vous disposez d’emplacements supplémentaires. Attention quand même, la carte mère ne possède que quatre ports Sata dont trois sont déjà pris par le SSD, le disque dur et le lecteur Blu-ray.

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